Volkswagen Chine invente la voiture sans roues

EXCLUSIF. Un engin à sustentation magnétique, propre et ultra-maniable, c'est le projet révélé par l'université de Chengdu et VW, qui ont réalisé la voiture de demain.

Ne rêvez pas. Les images hallucinantes de notre vidéo (lien) révèlent bien ce que pourrait être notre mobilité demain dans les rues surchargées de nos mégalopoles. Une sorte d'Autolib, non pas roulante, mais volante. Le Hover Car est tout droit sorti de l'imagination des chercheurs chinois de l'université de Chengdu, qui travaillent en grand secret depuis une dizaine d'années sur le projet.

Il est piloté, pour des raisons financières évidentes, par Volkswagen, dont le trésor de guerre économique est considérable et qui a bien compris qu'une partie de l'avenir automobile se jouait Chine. Quoi de mieux en effet que de solliciter les Chinois eux-mêmes pour imaginer leur mobilité de demain ? C'est ce prodigieux projet - ultra-secret et chapeauté par le ministère de la Défense chinois et le département des technologies avancées de Chengdu, qui ont donc développé le Hover Car - dont on peut apprécier (voir notre vidéo) les premières évolutions publiques réalisées en ce premier jour d'avril 2013.

Né du People's Car Project (PCP), une sorte de voiture du peuple à la chinoise qui va droit à l'histoire de Volkswagen (voiture du peuple en allemand), le Hover Car à l'apparence d'une bulle vitrée façon machine à laver et d'une prise électrique où elle viendra puiser à l'arrêt son énergie. Un stockage révolutionnaire, ultra-léger et compact au moyen de nouvelles batteries au carbone, totalement inconnues à ce jour, autorise une recharge rapide en moins de 12 minutes et permet d'effectuer 140 kilomètres réels. Pour une voiture de ville, c'est parfait, mais déjà Volkswagen achève le développement d'une PCP de route, de la taille d'une Golf.

Car le Hover Car n'est qu'un deux places, mais il faut le voir comme un démonstrateur. Il est tellement facile à conduire que, pour le premier film de promotion, le jeune ingénieur de développement du projet a fait appel à ses parents comme pilotes d'essai. C'est dire la confiance que le bureau d'études a dans le Hover Car, qui se pilote avec un joystick et s'élève à 30 centimètres au-dessus du sol une fois le contact mis. Par le phénomène de sustentation magnétique, le Hover Car n'a donc plus besoin de roues pour de mouvoir avec une facilité déconcertante. On peut le voir évoluer dans les rues surencombrées et étroites, puis sur de grandes artères chinoises, avec une formidable aisance. Malgré son âge, Liang Jia, pilote d'essai d'un jour, s'en sort parfaitement tant la conduite est naturelle, et l'on assiste même à la première scène de ménage en sustentation, avec Madame tançant Monsieur pour sa conduite quelque peu "dynamique".

Cette voiture à lévitation devra être encore développée pour la faire correspondre aux normes internationales et pour l'industrialiser à un coût raisonnable. C'est la raison pour laquelle elle sera d'abord réservée à la Chine, qui a obtenu une exclusivité de dix ans avant que VW ne puisse songer à l'exportation. Ce sera peut être l'occasion, pour les Occidentaux, de prendre leur revanche et de copier sous une autre forme les technologies embarquées par cette voiture, appelée à un bel avenir, avec cette faculté à se faufiler dans la circulation comme un poisson dans l'eau.Pour plus d'informations, cliquer sur le lien .

Le Point.fr - Publié le 01/04/2013 

Poisson d'avril !

Trois retraités discutent sur un banc... 

Louis, 75 ans...
«Je peux pas me plaindre, la santé ça va plutôt bien. Je mange, je vois encore sans lunettes, j'entends bien. Avec ma femme, on se câline encore de temps en temps. Mais, dès que je marche, ce n'est pas facile.
Chez moi, ce sont les jambes qui ne vont pas...»

Léon, 80 ans...
«Moi aussi, je n'ai pas à me plaindre. Pour manger, marcher, dormir, pas de problème. Avec ma femme, on se paye encore du bon temps, pas trop souvent mais c'est super correct. Mais je ne vois vraiment pas clair, même avec mes lunettes.
Chez moi, ce sont les yeux qui ne vont pas...»

Michel, 85 ans...
Moi aussi, ça va bien. Je mange, quoique je n'ai plus mon appétit d'autrefois, mais ça va. Je marche...pas très loin quand même. J'entends encore bien ; je vois clair sans lunettes. Mais je dois ajouter qu'il m'arrive des trucs bizarres.

Tout à l'heure, Marguerite, la femme de ménage, se baisse pour ramasser le tuyau de l'aspirateur et... je n'ai pas pu résister. Je lui ai retroussé la jupe, baissé mon pantalon, et hop ! Et quand on a fini notre affaire, elle se retourne et me dit :
«Mais, Monsieur, qu'est-ce que vous avez mangé aujourd'hui ? Ça fait la troisième fois depuis ce matin !»
«Vous voyez les gars, chez moi, c'est la mémoire qui ne va pas !»

-Toi dehors !

-Toi aussi !

-Incompétent ! Boum !

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Conclusion:

Sans les salariés, un patron et/ou les actionnaires ne sont rien!    

N'oubliez pas le reste de votre manteau de fourrure !

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