Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
14 juillet 2010 3 14 /07 /juillet /2010 09:00

 

« Des «chevaux de Troie»

 pour embarquer des molécules thérapeutiques vers le système nerveux central »


Les Echos fait savoir que Vect-Horus, une start-up marseillaise, « veut proposer des «chevaux de Troie» pour embarquer des molécules thérapeutiques vers le système nerveux central ».
Le journal rappelle en effet que
« moins de 2% des médicaments parviennent à franchir le filtre très sélectif de la barrière hémato-encéphalique, qui protège le cerveau des virus et microbes transportés dans le sang. […] En plus du filtrage des substances toxiques, la barrière hémato-encéphalique permet de réguler l'apport des nutriments nécessaires au fonctionnement du cerveau comme le glucose, l'insuline et les protéines ».
Michel Khrestchatisky, directeur scientifique et cofondateur de l'entreprise, explique :
« Nous avons mis au point une plate-forme technologique qui se sert de ces récepteurs pour cribler des protéines très simples (des peptides, NDLR), donc faciles à fabriquer, composées d'une dizaine d'acides aminés, identifiées comme hôtes autorisés à traverser la barrière ».
Les Echos relève que
« l'entreprise affirme avoir contrôlé l'affinité de plusieurs milliards de peptides. Une affirmation impossible à vérifier dans le concert de communications destinées à influencer la communauté industrielle. […] En attendant la mise au point d'un «vecteur miracle», ce savoir-faire a séduit plusieurs groupes pharmaceutiques qui ont confié à l'équipe des programmes de recherche sur la lésion de la moelle épinière ou le traitement de la douleur ».
Le journal précise que « Vect-Horus ne développera pas de médicaments. […] Parmi ses cibles, trois intéressent en priorité l'industrie pharmaceutique :

tumeurs cérébrales, infections virales et pathologies dégénératives.

 Reste à apporter la preuve du concept sur le modèle humain ».

Laurent Frichet Médiscoop 12/07/2010

 

Partager cet article

Repost0
14 juillet 2010 3 14 /07 /juillet /2010 07:00

 

Cancer : « Dépistage par la salive »


La Croix note brièvement que « des chercheurs de l’université Keio de Tokyo et de l’Université de Californie ont annoncé avoir développé une technologie qui permet de dépister différents cancers (du pancréas, du sein et de la sphère buccale)

à partir d’un simple test de salive,

dont les résultats sont connus en une demi-journée ».

 

Médiscoop Laurent Frichet Juillet 2010

 

 

 

 

 

 

 

Partager cet article

Repost0
13 juillet 2010 2 13 /07 /juillet /2010 09:00

 

Du nouveau sur le cancer colorectal

France - Une étude sur des rats publiée le 7 juillet met en évidence un lien entre la consommation de charcuterie et le cancer du côlon.

 

 
 
On soupçonnait depuis longtemps l'effet cancérigène de la charcuterie, l'Institut français de recherche agronomique (Inra) de Toulouse l'a démontré en menant une expérience sur des rats.

Pour que la charcuterie ait des conséquences néfastes,

il faut qu'elle combine quatre facteurs :

la cuisson, la richesse en hème (composant naturel qui donne sa couleur rouge à la viande), l'ajout de nitrites (éléments contribuant à la saveur et à la conservation) et enfin l'oxydation. C'est la transformation de l'hème qui serait responsable.Cette connaissance nouvelle acquise, les producteurs pourraient être appelés à revoir leurs processus de fabrication et de conditionnement. Du côté des consommateurs, des mesures peuvent également être prises. Tout d'abord, il faudrait freiner son goût pour la charcuterie. Cela semble difficile dans l'hexagone où elle est profondément ancrée dans les habitudes alimentaires.

Il faudrait également préférer acheter la charcuterie sous plastique et la consommer rapidement afin de limiter son oxydation.   

News de stars Maxisciences News Yahoo 11/07/2010

Partager cet article

Repost0
12 juillet 2010 1 12 /07 /juillet /2010 09:00

 

     plancheCapture.PNG

 

L'Hydrocution

 

 

Une hydrocution est un arrêt cardio-ventilatoire dû à la différence de température entre un liquide (le plus souvent de l'eau, d'où le préfixe "hydro") et la peau.

Un tel choc peut provoquer une perte de connaissance et donc une noyade.

Selon les Éditions Larousse, le terme est récent: 1953, et vient de "électrocution", lui-même, terme anglais, fabriqué à partir de "électro-" + le "-cution" de "exécution".

 

Mécanisme

 

Lorsqu'il fait chaud, les vaisseaux sanguins situés sous la peau sont très ouverts (vasodilatation) afin de favoriser la circulation périphérique qui permet d'évacuer la chaleur. Le rythme cardiaque augmente également afin d'accélérer ce refroidissement.

Si l'on entre brutalement dans de l'eau froide, la peau se refroidit très vite, et les vaisseaux vont se contracter rapidement (vasoconstriction). Ceci fait refluer le sang périphérique vers l'intérieur du corps, et provoque une augmentation de la pression artérielle.

Pour lutter contre cette hypertension, le cœur va ralentir (action du système nerveux parasympathique). De ce fait, le cerveau va être moins bien irrigué, et le déficit d'approvisionnement en dioxygène qui s'ensuit provoque la perte de conscience.

Comment l'éviter ?

Pour l'éviter, il faut préparer le système circulatoire à cette variation de température, donc il faut :

  • se mouiller avant la baignade les zones les plus riches en récepteurs thermiques : nuque (hypothalamus), thorax, dos ;
  • entrer dans l'eau progressivement ;
  • ne pas se baigner seul ou dans des zones non surveillées.

Les risques sont plus grands si l'eau est froide ou suite à une exposition prolongée au soleil.

Signes précurseurs

En cas de survenue d'un des signes suivants, il faut immédiatement sortir de l'eau et prévenir quelqu'un :

  • maux de tête[
  • démangeaisons, urticaire ;
  • frissons, tremblements ;
  • troubles visuels ou auditifs ;
  • sensation soudaine de fatigue intense ou d'angoisse ;
  • crampes.

Source Wikipédia

Partager cet article

Repost0
11 juillet 2010 7 11 /07 /juillet /2010 09:00

 

« Sida :

une découverte relance l'espoir de trouver un vaccin »

Le Monde note en effet sur son site Internet que
« selon une étude américaine publiée dans Science, la recherche sur le vaccin [contre le sida] pourrait avoir franchi un pas important.

Les chercheurs disent avoir identifié deux anticorps – appelés VRCO1 et VRCO2 – capables de bloquer, in vitro, la majorité des souches connues du virus ».

Les auteurs indiquent ainsi que ces anticorps ont « neutralisé plus de 90% des souches de HIV-1 en circulation ».
De son côté, le Dr Anthony Fauci, directeur de l'Institut national américain des allergies et des maladies infectieuses (Niaid), estime que
« la découverte de ces anticorps aux pouvoirs étendus de neutralisation du VIH et l'analyse qui explique comment ils opèrent représentent des avancées exaltantes qui vont accélérer nos efforts pour découvrir un vaccin capable de protéger de façon étendue contre le virus responsable du sida ».
Le responsable relève en outre que « la technique à laquelle l'équipe de recherche a recouru pour trouver ces anticorps représente une nouvelle approche qui pourrait être appliquée à la conception et au développement d'un vaccin contre de nombreuses autres maladies infectieuses ».

Médiscoop Laurent Frichet 09/07/2010

Partager cet article

Repost0
8 juillet 2010 4 08 /07 /juillet /2010 07:00

 

« Les premiers pas du poumon bioartificiel »
 
Sandrine Cabut s’interroge dans Le Figaro : « Pourra-t-on un jour remplacer les greffes pulmonaires par l’implantation de poumons bioartificiels, reconstitués en laboratoire à partir des propres organes des malades ? ».
La journaliste note que « des chercheurs américains de l’université de Yale ont franchi un premier pas prometteur en réussissant cette prouesse chez des rats », selon des travaux parus dans Science.
Sandrine Cabut explique que Thomas Petersen et son équipe
« ont prélevé des poumons de rats adultes puis en ont éliminé toutes les cellules – avec un détergent – pour ne garder que la matrice, c’est-à-dire la charpente de cet organe. Celle-ci a ensuite été placée dans un bioréacteur simulant un environnement pulmonaire fœtal. Plusieurs types de cellules ont été injectées, pour recoloniser les voies respiratoires et les vaisseaux ».
La journaliste ajoute qu’
« une semaine plus tard, ces néopoumons avaient acquis les mêmes caractéristiques qu’un poumon normal et étaient prêts pour la transplantation. Greffés chez des rats […], ils ont effectivement rempli leur mission ».
Sandrine Cabut précise que « quoique enthousiasmants, ces travaux préliminaires demanderont encore probablement des années, voire des décennies de recherche pour aboutir à des poumons bioartificiels susceptibles d’être implantés chez l’homme ».
Médiscoop Laurent Frichet 02/07/2010
 

Partager cet article

Repost0
5 juillet 2010 1 05 /07 /juillet /2010 07:00

 

LE LAIT DE VACHE, UN ALIMENT NON SPECIFIQUE

A L’HOMME

  

La glorieuse réputation du lait de vache comme boisson fortifiante et reminéralisante par son calcium est-elle justifiée ? De nombreuses recherches ont d'abord conduit médecins, hygiénistes et chercheurs à soupçonner sa nocivité pour, aujourd'hui, l'affirmer et considérer le lait de vache comme un aliment non spécifique à l'homme.  Cette idée heurte nos croyances.  Pourtant, Anne Laroche-Walter, naturopathe, ne manque pas d'arguments.

Comment et pourquoi le lait de vache est-il nocif pour la santé de l'être humain ? Et jusqu'où cette nocivité peut-elle conduire ? Existe-t-il des solutions de substitution ?

Comme les alcools, le tabac, le sucre blanc, les graisses cuites, le lait de vache est un produit nocif.  Nous consommons et abusons de tous ces produits, ne voyant pas au-delà de la satisfaction immédiate de nos besoins.  Ne pouvant nous dégager de nos habitudes alimentaires, il nous est difficile de repenser notre assiette.  Nous avons perdu cet instinct profond, garant de notre équilibre et de notre intérêt vital.

Ainsi, nous nous sommes habitués progressivement à une alimentation carencée et non spécifique.

Après avoir accumulé de nombreuses informations scientifiques relevant du domaine de la santé et de la nutrition, et au travers de ma pratique d'hygiéniste nutritionniste, j'ai constaté les changements très bénéfiques survenus chez mes consultants, suite à l’abandon total de la consommation des produits laitiers.  Ces résultats sont, pour moi, des preuves irréfutables.

Cet article, bien évidemment, ne concerne pas les rares tribus d’Afrique ou d'Amérique (Hunzas, Equatoriens, Caucasiens) qui subsistent encore dans le monde et vivent d'une manière naturelle.  Contrairement à nous, ils ne consomment que très peu de laitages, se nourrissent légèrement avec des aliments sains, sans adjonction  de produits chimiques ni additifs. Ils respirent un air pur, boivent une eau non polluée, et enfin ont une activité physique quotidienne, loin du stress et de l'activisme.  Ils entretiennent donc une vitalité et une endurance les rendant souvent centenaires.

Cet article s'adresse plutôt à nous, victimes d'une surabondance et surconsommation alimentaire, propre à notre société sédentaire.

Le-lait maternel

Avant de parler du lait de vache, il est souhaitable de parler d'abord du lait maternel.  L'allaitement maternel est la continuation de la fonction du placenta. Le placenta a un rôle nutritif et surtout un rôle de mise en place d'information qui participe à l'embryogenèse.

Après la naissance, le lait maternel perpétue cette information en donnant au bébé des messages pour sa croissance. Il a donc un rôle d'embryogenèse postnatal, et cette structuration, cette mise en place, demande trois ans d'allaitement pour l’idéal, six mois au minimum.  Le sevrage se fera doucement à partir du sixième mois, en introduisant progressivement légumes, fruits, céréales, un peu d’oléagineux et de protéines.

Le lait maternel est un régulateur hormonal pour le bébé car il lui est adapté, et il joue aussi un rôle immunitaire et anti-parasitaire.  Par exemple, grâce à une enzyme spécifique à l'espèce humaine dont il est porteur, il est capable de détruire des parasites intestinaux tels que Cardia lamblia ainsi que l'amibe Entacmoba histolytica.

Son coslostrum des premiers jours est purgatif, favorise l’élimination du méconium et diminue ainsi grandement les risques de jaunisse, il protégera donc le bébé contre les infections.

Le lait maternel correspond exactement à la constitution biologique du bébé.  Il a de multiples fonctions :

- stimulation de l'immunité, - apport énergétique et nutritif, - équilibrage du système nerveux par ses acides gras insaturés,

- véhicule de l'information de croissance adaptée par le message contenu dans ses protéines.

J’ajouterai enfin une fonction qui n'est pas la moindre: celle du lien d'amour et de la plénitude de la vie.

Pourquoi dire non au lait de vache ?

Pourquoi le lait de vache est-il nocif pour la santé de l’être humain ? En voici les principales réponses :

1.Code génétique inadapté 

les hormones contenues dans le lait de vache sont des véhicules d’informations et vont transmettre à l’hypophyse du veau des informations adaptées à cette espèce animale particulière.

Imaginez une information de croissance spécifique au veau, par exemple peser 500 kg à six mois, reçu dans l’hypophyse d’un nourrisson qui, lui, dans le même temps, ne doit peser que 7 à 8 kg ? que va-t-il se passer ?

Tout simplement, cette information non spécifique, qui ne correspond en rien à la croissance normale de l’être humain, va perturber le mécanisme sensible du système hormonal réglé par l’hypophyse et, de ce fait, déclencher toute une série de conséquences fâcheuses pour le bon fonctionnement physiologique de l’individu.

Quand bien même, malgré cela, l’organisme humain serait capable de s’adapter à cette désinformation, il le ferait au détriment d’autres fonctions s’étalant sur la vie entière de l’individu et même sur des générations.

C’est pourquoi le danger ne porte ni sur la quantité de produits laitiers absorbés (bien que cela puisse provoquer des encrassements du métabolisme, et nous en reparlerons plus lion), ni même sur la quantité biologique : le lait de vache issu de l’agrobiologique contient absolument les mêmes informations néfastes et non adaptées à l’espèce humaine. Une seule goutte de lait, même cachée dans un gâteau, suffisait à dérégler le processus du métabolisme.

En conséquence, on constate, dans la plupart des cas, des réactions négatives du bébé lors du sevrage passant du lait maternel au lait de vache, ou aux laits dits maternisés qui restent malgré tout spécifiques à l’espèce animale car composée avec du lait de vache.

Cette information ne se trouve pas dans la viande de bœuf car n’ayant pas les mêmes caractères d’information. Il est, à mon avis, plus dangereux pour la santé de l’homme de consommer des laitages que la viande de bonne qualité biologique. Contrairement aux idées répandues parmi les adeptes végétariens.

2. Du calcium inaccessible

Nous trouvons dans le lait de vache, tout comme dans le lait maternel, du calcium. Celui-ci est dosé suivant les besoins du veau ou du bébé. Non seulement les besoins ne sont pas les mêmes, mais aussi grande que soit la proportion de calcium dans le lait de vache, celui-ci ne pourra en aucun cas être disponible à l’organisme humain. En effet, les protéines spécifiques contenues dans le lait animal et ayant pour fonction de transmettre l’information  nécessaire à l élaboration de l’osséine (filet sur cartilage pour retenir les minéraux) ne seront pas adaptées à notre espèce, mais au veau, donc totalement inopérantes pour l’être humain.

C’est pourquoi le bébé, l’enfant, ou l’adulte, auront très peu d’osséine et par ce fait, retiendront mal les minéraux, entraînant une déminéralisation progressive.

En regroupant les constatations de plusieurs chercheurs, médecins et hygiénistes, il semblerait que l’organisme, d’une part se défait de ces sels minéraux circulant dans le système sanguin, par défaut d’osséine, et d’autre part accumule ces mêmes sels contenus en trop grande quantité dans le lait de vache, dans des endroits tissulaires et organiques du corps. Ceci entraînant indurations, kystes, calculs et becs de perroquet.

3. Des graisses saturées

Dans le lait maternel , les graisses sont constituées essentiellement d’acides gras poly-insaturés. Le lait de vache, lui contient essentiellement des acides gras saturés à grosses molécules lipidiques que le foie de l’être humain a du mal à digérer et à saponifier. Le système biliaire se fatigue par une suractivité pour tenter de dissoudre un produit incompatible avec le système digestif. Il est important de savoir que le lait de vache a la propriété de fixer les toxines déjà présentes dans le corps et principalement celles qui viennent s’y ajouter par l’alimentation. C’est pourquoi lors d’une maladie aiguë ou chronique ( grippe, angine infection) il est indispensable de supprimer tous les produits laitiers afin d’en venir à la guérison. De plus, les graisses qui ne sont pas éliminés seront absorbées au niveau de l’intestin grêle, passant ainsi dans le sang, ce qui est particulièrement nocif. Les graisses ont une importance capitale pour le développement du cerveau et du système nerveux. Le cerveau de l’être humain ayant une croissance plus rapide que celui des autres mammifères, il est donc important de lui fournir des graisses de bonne qualité, c’est-à-dire insaturées, de provenance maternelle ou bien végétale.

Et pour une croissance harmonieuse du bébé, nous trouvons la lactoferrine dans les protéines du lactosérum maternel.

 4. Pauvreté en lactose

Le lait maternel, biologiquement adapté à l’homme, contient 50 % et plus que le lait de vache. Ses propriétés sont non seulement énergétiques et déterminantes dans le processus de l’assimilation des minéraux et de la constitution de la flore intestinale, mais aussi elles participent grandement dans la protection contre les germes pathogènes.

Aucun lait d’origine animale ne protège l'homme contre les germes pathogènes et autres parasites. Bien au contraire, ils en favorisent tous la prolifération par modification du milieu digestif et intestinal qu’entraîne inévitablement leur absorption.

La fièvre de Malte et la brucellose en sont les conséquences dont les risques ont été minimisés avec la surveillance sanitaire et la vaccination.  Mais la vaccination n'empêche pas le passage d'autres toxines présentes dans le lait de vache comme nous allons le voir plus loin.

Les protéines du lactosérum contenues dans le lait maternel contiennent des protéines anticorps (lysosymes, gammaglobulines. immunoglobulines) qui jouent un rôle de grande importance dans la lutte contre les infections, d'autant plus que le nourrisson n'a pas établi sa barrière immunitaire intestinale.

D'où, une fois de plus, l'importance de nourrir l'enfant au lait maternel et d'abandonner le lait de vache favorisant les parasites en tous genres.

 5. Des molécules géantes

 Les éléments constitutifs du lait de vache et du lait maternel sont différents, notamment par la grosseur des molécules et des protéines ainsi que par leur formule biochimique.

Le milieu digestif est également différent selon l'espèce: l'estomac du veau sécrétant de la caillette et celui du bébé de la présure (réinine) pour dégrader et coaguler leurs laits respectifs.  Ainsi, on constate que la caillette du veau est cent fois plus puissante et active que la présure du nourrisson, et cela en rapport avec les molécules constituantes du lait de vache qui sont nettement plus grosses que celles du lait maternel.

C'est donc un effort considérable que nous demandons à notre foie pour dégrader une trop grosse molécule d'origine animale.

Diluer le lait de vache avec de l'eau pour le rendre soi-disant plus digeste ne changera rien à l'affaire car la formule biochimique restera la même.

Le bébé fabrique de la réinine jusqu'à l'âge de trois ans.  Au-delà de cet âge, si nous le forçons à boire du lait de vache après son sevrage, son organisme se verra forcé de fabriquer de la présure (lactase) pour digérer un aliment qui ne lui est donc pas nécessaire, au détriment des autres fonctions organiques.  J’ajouterai que la présence de la lactase dans l'intestin est responsable de gaz et de ballonnements (une flore intestinale de bonne qualité est de nos jours très rare, il est donc très important de ne pas la modifier ou de la remettre en bon état).

 Les Africains possèdent très peu d'enzymes (réinine) pour digérer le lait de vache.  Ils sont donc plus exposés que les Occidentaux à des dérèglements digestifs aux conséquences fâcheuses.  Le lait de vache et ses sous-Produits ( fromage, yaourt; beurre) sont contre-indiqués dans les pays tropicaux

 6. Les facteurs toxiques

Dans les cahiers de la nutrition «Médecine officielle», il est noté que nos chercheurs ont découvert dans le lait de vache une molécule hautement toxique pour l’homme. Des recherches ont été effectuées afin de retirer cette molécule du lait, au lieu d’en retirer tout simplement la vente.

Avec tous ses divers procédés de pasteurisation, d'homogénéisation et de stérilisation UHT, le fait de vache perd ce qui, à la rigueur, pourrait nous aider à nous débarrasser assez vite de cette molécule toxique, c'est-à-dire ses enzymes.

Les enzymes sont des facteurs d'assimilation intervenant par catalyse.  Sous la chaleur des divers procédés de longue conservation et de protection, le lait de vache se défait de ses enzymes qui sont tous très sensibles et dont la survie est nulle à haute température.

Choisir entre un lait cru et sa facilité d'assimilation et un lait cuit de longue conservation et sa facilité d'emploie, je dirai que cuit ou cru, il vaut mieux s'abstenir.

D’autant plus que dans la fabrication de certains fromages , et plus spécialement les fromages de hollande, l’ajout de tous les additifs conservateurs (polyphosphate, nitrate), sont très dangereux pour la santé de l’homme. Les phosphates ont une action inhibitrice sur la fixation du calcium, d’où le nombre croissant de personnes atteintes de spasmophilie, consommant du fromage ou des produits laitiers. Il faut donc se méfier de la fausse information concernant l’apport de calcium par les laitages.

 Et pour terminer, les vaches subissent divers traitements (hormones, vaccins, antibiotiques). Elles sont elles-mêmes alimentées par des produits forcés et traités qui transmettent une forte teneur en toxines dans le lait, ajoutant à tous les facteurs déjà énumérés un danger de plus pour la santé de l’homme. (sans parler des farines de cadavres de mouton dont on les a longtemps gavées et dont on commence à mesurer aujourd’hui les graves conséquences sous le terme de « maladie de la vache folle ».

Les produits laitiers d'Europe inondent le Marché et s'expatrient vers les autres pays, notamment les pays tropicaux dont le climat ne permet pas aux consommateurs leur assimilation : de nombreux problèmes de santé en découlent sans en soupçonner leur origine.

Pourquoi, au moment où les médias dénoncent la viande contaminée par la maladie de la vache folle, ne se préoccupe-t-on pas de la qualité du lait de vache ? Et pourtant, il semble logique de se poser , au moins la question.

 Evolution pathologique

Le bébé supporte très mal le sevrage lorsqu’on lui substitue au lait maternel du lait de vache dit maternisé.

Le rejet  et les perturbations sont immédiats. Ses premières manifestations seront des selles qui s’éclaircissent (c’est une atteinte biliaire), des nausées et des vomissements pouvant aller jusqu'à  l'étouffement, conséquence d'une intolérance au lait de vache, troublant la fonction stomacale ou biliaire.  Des rougeurs, des boutons, des croûtes pourront surgir ainsi que des diarrhées.  Les réactions du bébé seront d'autant plus fortes que celui-ci aura de la vitalité. La plupart des mamans, mal informées, persévèrent dans cette pratique. Le bébé, par nécessité, finit par s’adapter tant bien que mal à ce régime alimentaire non spécifique. Petit à petit, les manifestations d'un dysfonctionnement cesseront Le premier signal d'alarme se tait.  On n'aura ni entendu ni supprimé la cause.  La mère s'imaginera que tout est rentré dans l'ordre mais il n'en est rien.  C'est grave, car le potentiel vital du bébé en sera affaibli, l'amenant vers un terrain fragilisé de moindre résistance.

L’encrassement tissulaire commence dès le plus jeune âge par des problèmes inflammatoires touchant la sphère ORL (sinusite, amygdalite, conjonctivite, mastoïdite, méningite).  Si les inflammations catarrhales ne sont pas supprimées (allergie au lait de vache par exemple), celles-ci atteindront l'enfant dans les parties plus basses (cage thoracique) avec des pleurites, laryngites, trachéites, bronchites.

A la puberté, l'adolescent, soumis à de nouveaux processus hormonaux élimine tant bien que mal ses toxines par le biais de la peau.  C'est ce que l'on appelle l'acné juvénile, qui passera progressivement comme les diarrhées du bébé ont progressivement disparu.

La cause demeurant, la situation reste inchangée.  Les signes de carences se manifestent par des déminéralisations  (dentaire et osseuse), des troubles du poids, d’attention, de vision, s’ajoutant aux fatigues et nervosité.

A l'âgé adulte, l'inflammation se propagera vers la sphère digestive avec des gastrites, colites, cystites, sigmoïdites.  L'invasion inflammatoire se fait du haut vers le bas avec une progression plus ou moins rapide suivant l'état du terrain de chacun (potentiel vital fort, faible ou absent) et cette pathologie sera d'autant plus tenace et envahissante que les moyens pour arrêter sa progression ne feront qu'affaiblir le potentiel vital par absorption de toxines supplémentaires (médicaments) et fermeture des émonctoires (antibiotiques).  Encore une fois, on essaie de soigner les effets et non d'arrêter la cause qui reste ici une intolérance à un aliment non spécifique.

Cette progression continuera tant qu'un redressement alimentaire correct ne viendra pas la stopper.

Toutes ces maladies chaudes inflammatoires, dites en ites, se transformeront petit à petit en maladies froides, dites en oses (artérioscléroses, tuberculoses, canceroses).

Les maladies silencieuses sont les plus dangereuses et les plus vicieuses.  Elles progressent sans crier garde car le potentiel vital de la personne s’est considérablement affaibli par la prise de médicaments en plus de la continuation de la cause provoquant la toxémie.  La phase aiguë du début de la vie et sa force d'élimination (diarrhée, vomissement fièvre, acné, toux) vont peu à peu se transformer en phase silencieuse chronique où la maladie s'installe et s'incruste en formant kystes, polypes et indurations.

Les processus des défenses immunitaires seront grandement affaiblis et la pathologie accédera à un stade irréversible.  Cette finalité est d'autant plus triste qu'elle aurait vu être facilement évitée.

 L’intoxication à l’acide lactique

A l'âge adulte, nous avons perdu la quasi-totalité des lactases, enzymes indispensables à la digestion du lait. Cette enzyme est présente chez le bébé qui tête sa mère.

Si malgré cela, l’adulte consomme des produits laitiers, il va non seulement ne pas digérer cet aliment, mais créer un état de suractivation d’acide lactique qui en trop grand quantité dans l’organisme, deviendra toxique . En effet, une élévation de l’acide lactique au niveau cellulaire engendre une prolifération de cellules qui n’atteindront pas leur maturité, (la quantité détruit la qualité) et seront incapables de capter l’oxygène et d’éliminer les déchets. Ces perturbations de kystes et de tumeurs.

 D’autres en parlent

Le Docteur Dufhilo (dans Vie et action) rend le lait de vache responsable d’encrassement et affirme qu’un retour à la bonne santé doit passer par un décrassage intelligent. Il a traité des malades présentant des tumeurs aux seins avec la suppression totale de tous les produits laitiers. Il propose aux malades d’en faire eux-mêmes l’essai et de se passer de lait durant un ou deux mois et de voir. Il propose également aux bien-portants de la faire en tant qu’expérience pour constater s’ils en retirent un regain de vigueur, entrain et endurance.

Le docteur Arturo Capdeville, constate des paralysés infantiles (polio) dues à la consommation de produits laitiers.

Les troubles de santé par l’apport quotidien de lait de vache sont nombreux : les maladies cardio-vasculaires, les inflammations, les allergies, les syndromes de mort subite chez le jeune enfant, les troubles nerveux mineurs et la schizophrénie.

L’intolérance à la béta-lacta-blobuline, une  protéine du lait de vache, est très fréquente chez les nourrissons et ceux-ci ont le réflexe intelligent de la refuser. Ils pleurent, crachent, vomissent, ont des diarrhées, amis l’insistance bornée des adultes conduit son organisme dans un état de tolérance des antigènes du lait de vache.

Bruno Comby constate des améliorations des états de sida avec la suppression des laitages. Il déplore que l’homme soit le seul mammifère qui continue à boire du lait à l’âge adulte (à son désavantage) bien que notre sécrétion d’enzymes digestifs du lait (lactase) se tarisse à partir de l’âge de trois ans.

Pour le pédiatre Paul Gyorgy, le lait de vache est le meilleur pour le veau et la lait maternel est le meilleur pour le bébé.

Les Docteurs Dominique Gros, Richard Lennart et Paul Vesin encouragent l'allaitement maternel et déconseillent vigoureusement le lait de vache.

Roland Fietta, naturopathe, prêtend que le lait de vache proyoque des obésités, des rhumatismes, infections, allergies, troubles nerveux, spasmophilie. En cas d’otite à répétition, il est nécessaire, dit-il, de réduire ou de supprimer le lait et les laitages.  Il ajoute qu'en Scandinavie, on trouve des problèmes graves de dystrophie osseuse, des acromégalies d'origine hypophysaire osseuse, des néphroses du buveur de lait( le rein qui se transforme en cailloux).

Le Docteur Comet rend le lait responsable de troubles hormonaux par la présence quasi permanente de protéines lactées dans la région hypophysaire provoquant des freins hormonaux responsables de troubles des règles, de stérilité, de prise de poids, de mastoses et de kystes bénins de la glande mammaire.  Par son acide butyrique corrosif pour l'être humain, mais physiologique pour le veau, il constate la présence de toxines agissant sur le foie qui sont responsables de nombreuses crises de foie, de colites, d'infections, de maux de tête, de rhumatismes.

Il conseille à la femme ménopausée de ne pas consommer de laitages à cause du risque d'ostéoporose car on obtient les effets contraires d'une reminéralisation avec les produits laitiers.  Le lait de vache est trois fois trop riche en calcium et pas assez en vitamine D qui fixe le calcium (le Nouvel Objectif n' 4, mai I990).

Dans le «Droit à la Santé», il signale : «l'acide butyrique contenu dans le lait, le beurre et le   fromage  attaque la paroi intestinale, permettant un passage dans le sang des résidus contenus dans les excréments qui pourront être digérés. Cela équivaut à une surdigestion des excréments , phénomène normal chez le veau sous la mère qui grossit ainsi de 1 kg par jour pendant 6 mois……mais qui au-delà de cet âge, ne se nourrira que de végétaux.».

 Dans la «Médecine végétale illustrée», du Docteur A Narodetzki, nous trouvons dans la rubrique lait de vache cette information : «le lait contient des germes infectieux parce que les vaches sont souvent atteintes d'une maladie infectieuse et de phtisie (sommelière).  Son usage peut transmettre la tuberculose dans les poumons, le cerveau (méningite), les os et autres organes, la scarlatine et provoquer la diarrhée verte chez les nourrissons. Le lait est défendu dans.l'enterocolite muco-membraneuse, dans les entérites parce qu'il favorise les bacilles protéolytiques qui existent dans les entérites et provoque des gaz, des ballonnements, et des douleurs».

Michio Kushi, spécialiste en rnacrobiotique, auteur de plusieurs livres, dit dans le Livre de la Macrobiotique: «Les produits laitiers ne rentrent' pas dans l'art culinaire de la macrobiotique.  Le lait de vache n'est bon que pour le veau».

 Le Professeur Reinert (centre hospitalier intercommunal de Créteil) donne une information intéressante :

«les anticorps IGA dans le lait maternel ont certes un rôle important mais les cellules vivantes comme les lymphocytes.11 et les macrophages sécréteurs d'interféron transmettent sans doute une information immunitaire durable se prolongeant pendant plusieurs mois».  C'est Pourquoi il est si important d’allaiter le bébé au sein durant au moins les six premiers mois, au mieux durant trois ans.

Jane Cottinghan, dans son livre «Le biberon bébé», remarque que chez l'homme la consommation de lait d'animaux date de IO 000 ans et que son industrie s'est vraiment développée depuis 50 à 70 ans chez seulement quelques espèces humaines.  C'est donc un phénomène relativement récent.  L’ingestion de lait de vache chez le bébé provoquerait des infections intestinales incluant des diarrhées de type escherichia-coli et autres organismes, entérovirus, tandis que le lait maternel est un anti-infectieux, grâce à la présence d'une sécrétion d'immunoglobuline à lysozyme et de facteur bifidus.

Dans le dépliant de la Caisse Nationale de l'Assurance Maladie des travailleurs, tiré des éditions Objectif Santé, il est écrit : «Les laits maternisés, par leur apport de protéines animales et végétales, enterainent un excés d’urée et des déchets.

 REMPLACER LE LAIT

 Le lait de soja ; les crèmes de dessert au soja ; le tofu : obtenu en caillant le lait de soja ; les yaourts au lait de soja ; le lait d’amandes obtenue en mixant des amandes avec de l’eau ; le lait de céréales ; le lait de riz ; lait de sésame ; lait d’orge.

Source: http://membres.multimania.fr/jbarriere/dossiers/lelaitde.htm

 

Article associé: Nutrition et maladies: Le lait de vache, une sacrée vacherie

 http://www.dorffer-patrick.com/article-le-lait-de-vache-53321504.html

 

Partager cet article

Repost0
29 juin 2010 2 29 /06 /juin /2010 07:00

 

Un test sanguin pour « indiquer avec exactitude à quel moment une femme atteindra la ménopause » 

Le Parisien indique brièvement qu’« un simple test sanguin pourrait indiquer avec exactitude à quel moment une femme atteindra la ménopause ». Le journal note que ce
« travail de recherche [est] présenté aujourd’hui à Rome lors d’une conférence sur la fertilité ».
Le Parisien précise que « ce test, mis au point par des Iraniens et basé sur la mesure des niveaux d’une hormone, a une marge d’erreur de 4 mois en moyenne ».

Médiscoop Laurent Frichet 28/06/2010

 

Partager cet article

Repost0
28 juin 2010 1 28 /06 /juin /2010 11:58

 

Diabète :

surveiller son taux de sucre dans le sang

grâce à un tatouage


Le Figaro s’interroge : « Les diabétiques pourront-ils un jour surveiller leur taux de sucre dans le sang grâce à un petit tatouage ? ».
Le journal indique en effet que
« des chercheurs américains du MIT ont conçu un système de nanoparticules de carbone enveloppées dans un polymère, qui devient fluorescent en présence de glucoses ».
« La prochaine étape est de créer une encre qui pourra être injectée sous la peau comme un tatouage. Il suffira alors de passer un moniteur à infrarouge devant ce nanotatouage pour mesurer la glycémie », poursuit le quotidien.
Le Figaro précise que « biodégradable, le capteur devra être changé tous les 6 mois », puis relève que « les premiers tests vont bientôt débuter chez l’animal ».

Médiscoop Laurent Frichet 28/06/2010

 

Partager cet article

Repost0
26 juin 2010 6 26 /06 /juin /2010 07:00

 

« Les effets antiobésité d’une molécule dérivée du vin »
 
Sandrine Cabut note dans Le Figaro que « présent naturellement dans les vins rouges mais aussi dans plus de 70 végétaux dont le raisin, l’arachide ou encore le cacao, le resvératrol n’en finit pas de passionner et d’étonner les chercheurs ».
« Le dernière étude, publiée cette semaine par une équipe française dans BMC Physiology, apporte des données inédites chez des primates, en montrant
qu’une supplémentation en resvératrol réduit considérablement leur prise de poids en période hivernale, par une augmentation des dépenses énergétiques et un effet coupe-faim », indique la journaliste.
Sandrine Cabut relève que « l’équipe de Fabienne Aujard (CNRS, Museum national d’histoire naturelle, Brunoy) a choisi d’étudier des microcèbes. [.. .] Ces lémuriens ont un rythme saisonnier marqué, ils doublent quasiment leur poids en hiver grâce à un stockage progressif de graisses ».
La journaliste explique que « pendant 4 semaines, à la saison où ils ont naturellement tendance à stocker des graisses en vue de l’hiver, 6 microcèbes ont été soumis à un régime riche en resvératrol : 200 mg/kg/jour, une dose bien supérieure à ce que consomme normalement un humain ».
Fabienne Aujard indique que « la prise de poids, habituellement d’un gramme par jour à cette période, a été divisée par 5 ».
Sandrine Cabut note que cela « s’explique par un accroissement des dépenses énergétiques et une diminution des apports caloriques. Les chercheurs ont aussi relevé de moindres variations de la température corporelle des microcèbes, sans diminution de leur activité physique, alors qu’ils sont habituellement sujets à la torpeur ».
La journaliste ajoute que « le travail des chercheurs est loin d’être fini. Ils étudient les effets à long terme du resvératrol sur les pathologies liées à l’âge et la longévité de ces animaux ».
Le Pr Norbert Latruffe (unité Inserm 866, Dijon) remarque que « ces résultats sont intéressants, en particulier l’effet coupe-faim, mais il faudrait savoir si celui-ci existe avec des doses plus physiologiques de resvératrol ».
Laurent Frichet Médiscoop 24/06/2010 

Partager cet article

Repost0

L'humour Est La Meilleure Thérapeutique

  • : Doc de Haguenau
  • Doc de Haguenau
  • : Humour, Nutrition et santé, Politique, Sport, Histoire, Alsace, Râler, Actualités
  • Contact

STOP TABAC & ANTI-SMOKING THERAPY

Et si vous arrêtiez de fumer? Ne repoussez pas tout le temps la décision à demain, une fois les complications arrivées, vous vous direz si seulement j'avais arrêté...

http://www.dorffer-patrick.com/article-sevrage-tabagique-j-arrete-de-fumer-mais-c-est-dur-tres-dur-65570244.html

 

The session consists first in a group therapy, and then in individual mesotherapy injections under the skin, with a small needle at both ears.
The mixture injected is purely homeopathic, it causes the disgust of the cigarette, he fought against the urge to smoke, irritability, and against the craving.
One session is required in almost all cases. 

Nicotine withdrawal by homeopathic mesotherapy 

Recherche

Disclamer-Contenu du site

Tous les articles, images, vidéos, blagues, photos... présents sur ce site proviennent soit de moi, soit d'autres sites Web comme le mien, soit bien souvent m'ont été envoyés par Email.

Elles n'ont pas à ma connaissance de Copyright, et je ne connais pas le nom de leurs auteurs la plupart du temps.

Par ailleurs, l'essentiel du contenu de ce site est déjà largement diffusé sur le Net, et je suis ainsi bien incapable de déterminer son origine exacte.

Toutefois, si vous êtes l'auteur et ne désirez pas qu'une de vos créations apparaissent sur ce site, contactez moi par courriel, et je les retirerais.

Si vous possédez des droits sur des images, des vidéos... et, si vous désirez qu'ils ne soient publiés sur ce site, veuillez me prévenir par mail, je m'engage à les retirer dès réception de votre demande.

Il en résulte que le Site décline toutes responsabilités quant à l'utilisation qui pourrait en être faite par autrui.

 

Pages

J'adore la vie, l'humour, et bien plus

J'adore la vie, l'humour, les critiques objectives ou parfois pas, une soif d'informations. Je râle, je pousse des coups de gueule, je m'exprime, j'informe.

Météo Strasbourg

Info circulation