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20 janvier 2012 5 20 /01 /janvier /2012 08:00

Cet homme qui a inventé l'eau solide

 

 

 

Un ingénieur chimiste a peut-être trouvé la solution pour résoudre le problème de sécheresse qui dévaste le nord du Mexique.

 

 

 

Sergio Rico, ingénieur chimiste mexicain, est l'inventeur de la pluie solide, un procédé très simple qui pourrait révolutionner l'agriculture. Cette technologie relève de l'irrigation agricole. Elle consiste à optimiser l'usage de l'eau de pluie. Depuis une dizaine d'années, le Mexique subit des sécheresses terribles dans le nord du pays. Sergio Rico, sensible aux problèmes de pauvreté, de famine et de migration, a cherché comment mieux utiliser les faibles pluies qui tombent malgré tout sur ces zones arides.

"En travaillant sur la récupération de l'eau de pluie, déclare Sergio Rico au Point.fr, nous avons trouvé le moyen de la solidifier pour lui donner une autre valeur. Je me suis inspiré des couches pour bébés qui permettent d'absorber un liquide dans un minimum d'espace, et c'est à partir de là que j'ai eu l'idée de transformer l'eau de pluie en la gardant sous forme moléculaire dans un acrylate très absorbant dont la caractéristique est d'emmagasiner jusqu'à 500 fois son poids en eau sans en modifier la structure chimique."

L'eau de pluie, captée des toits, est canalisée vers un réservoir dans lequel il suffit de verser une dose de 1,5 gramme de polyacrylate de potassium pour 1 litre d'eau. En 15 minutes, on assiste au processus de solidification de l'eau. Se produisent alors une ionisation et une précipitation qui permettent aux molécules d'eau de se coller aux polymères, ce qui donne de l'eau en grains, à l'état solide. Avec ce procédé, plus besoin de pompes, de tuyaux, d'énergie électrique, de camions-citernes pour transporter le liquide. L'eau solidifiée peut se mettre dans des sacs en plastique que l'on peut stocker facilement jusqu'à en avoir besoin.

Les plantes n'ont aucun stress

Le polyacrylate de potassium permet de gélifier les liquides et de les réhydrater autant de fois que l'on veut pendant huit à dix ans. C'est une sorte de poudre blanche qui ressemble à du sucre. Pour le mélange, le chimiste mexicain, qui connaît bien son pays, utilise comme unité de mesure la capsule de n'importe quelle bouteille de boisson gazeuse, car il sait que les paysans des hameaux ou des petits villages auxquels s'adresse en priorité cette technologie ne possèdent pas une balance précise permettant de peser 1,60 gramme de polyacrylate.

Une capsule pleine à ras bord est, par exemple, la dose nécessaire pour solidifier l'eau que réclament trois plants de tomates. Pour un champ de maïs, un sac de 25 kilos permet d'irriguer environ 1 hectare. Pour démontrer la fiabilité de son invention, Sergio Rico a comparé dans l'État du Sonora, où le thermomètre monte facilement au-dessus de 45 degrés, deux systèmes d'irrigation. Avec le système traditionnel, où le paysan attend la saison des pluies pour arroser son champ, le rendement est de 600 kilos de maïs pour un hectare. Dans le champ d'à côté, la même culture avec de la pluie solide a permis une récolte de 10 tonnes par hectare !

Ce système d'irrigation, à la différence des autres comme l'arrosage par aspersion ou le goutte-à-goutte, est le seul qui emploie de l'eau à l'état solide. Les résultats sont incroyables, car la racine des plantes est maintenue humide pendant plusieurs mois et se réhydrate chaque fois qu'il y a une ondée ou un petit arrosage. La plante n'a, d'autre part, aucun stress, car elle sait qu'elle peut compter sur l'exacte quantité d'eau qui lui est nécessaire sans qu'il y ait de déperdition, car l'eau solide ne s'infiltre pas dans la terre ni ne s'évapore. Sur son bureau, Sergio Rico nous montre une magnifique plante verte qui n'a pas été arrosée depuis 176 jours.

Nul n'est prophète en son pays

Sergio Rico améliore sa technique depuis cinq ans. Il a déposé un brevet dans le monde entier sous le nom de "Silos de Agua". Sa technique est déjà employée avec succès en Inde pour les cultures de fruits, de cacahuètes, de coton, de blé et palmes. Avec un système traditionnel, ces cultures requièrent une irrigation de 80 litres d'eau par semaine, avec l'utilisation de l'eau solide, il ne faut que 50 litres tous les 3 mois. Un même succès en Colombie, en Équateur, en Espagne et au Portugal où son procédé est utilisé pour les cultures en serres ou dans les programmes de reforestation. "Les agriculteurs, qui connaissent les coûts de production, sont les plus intéressés, car ils voient immédiatement les économies d'eau qu'ils vont faire avec notre produit." Silos de Agua est très bon marché puisque le sac de 25 kilos pour un hectare ne coûte que 400 euros et dure 10 ans.

Autre avantage, l'eau solide se transporte facilement, ce qui est très pratique pour les lieux difficiles d'accès, que ce soit à dos de mule ou en hélicoptère. Les grandes sociétés agricoles mexicaines commencent à s'habituer à cette nouvelle technologie et ont de plus en plus souvent un stock d'eau solide au cas où les pluies cesseraient avant la récolte. C'est également un produit idéal pour arrêter les incendies. En déposant à même le sol des sacs d'eau solide, les feux rencontrent une masse d'humidité qui ne s'évapore pas, ils s'éteignent d'eux-mêmes sans mettre en danger la vie des pompiers.

Le rêve de Sergio Rico serait bien sûr de convaincre le ministre de l'Agriculture du Mexique de lancer une campagne d'information et d'assistance technique pour permettre aux zones les plus touchées par le changement climatique d'optimiser l'usage de l'eau de pluie. Il aimerait voir sa technologie au service des paysans mexicains les plus démunis. Pour l'heure, il ne recueille que des applaudissements, des diplômes et de bonnes paroles. Nominé pour le Prix mondial de l'eau en 2011 par le Stockholm International Water Institute, Silos de Agua espère bien remporter la palme en 2012. Ce serait alors le coup de pouce nécessaire pour une application mondiale.

News Yahoo lepoint.fr/science 19-01-2012

 

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6 décembre 2011 2 06 /12 /décembre /2011 07:28

 Je vous livre ici, dans son intégralité, l’excellent article de wikistrike.com, qui décrit les dangers des OGM. Les vendeurs de semences capitalistes restent sans scrupules et ne voient que le bénéfice financier au détriment des pauvres et de la belle planète bleue, dont le compte à rebours de l'apocalypse est entamé.

 

Suicide collectif de 1500 fermiers indiens ruinés à cause des OGM 

 

 

 

Ces dernières semaines, 1500 fermiers se sont suicidés collectivement en Inde, dans la province de Chattisgarh. Un phénomène récurrent, puisque les chiffres officiels font état de 1000 suicides mensuels... depuis plus de quinze ans. En cause, l'endettement des paysans lié à l'achat de semences OGM miraculeuses... qui se révèlent catastrophiques.

 

Depuis le milieu des années 80, l'Inde a accepté d'ouvrir totalement son marché en contrepartie de l'aide du Fonds Monétaire International. Une révolution économique s'en suivit, qui en fit un terrain d'expérimentation mondial en matière agricole. Depuis lors, les paysans sont livrés aux promesses des vendeurs de semences magiques : les rendements devaient être exceptionnels, et les insectes et parasites rangés dans les tiroirs de l'histoire. Les variétés traditionnelles ont même été interdites dans de nombreuses banques de semences gouvernementales. Mais pour toucher le Graal, il fallait débourser 10 fois plus pour la même quantité de semences. Le prix de la gloire. Et les paysans se sont massivement endettés.

 

What a wonderfull world (Company)...

 

Sauf que les semences OGM de coton Bt (de Monsanto, faut-il le préciser) sont tombées malades, infestées par le vers (vorace) de la capsule.

Les semenciers avaient juste oublié de préciser que les plantes n'étaient pas résistantes aux maladies locales et qu'il fallait donc épandre des tonnes de pesticides en plus. Ils avaient aussi omis d'indiquer que les variétés en question buvaient deux plus d'eau et dégradaient les sols à grande vitesse. Du coup, les sécheresses ont été amplifiées et les rendements réduits à peau de chagrin. Les paysans se retrouvent à sec, paralysés par leurs dettes et sans le sou pour acheter les semences de l'année suivante, puisque les plantes OGM - dotés d'une technologie révolutionnaire affectueusement nommée "Terminator" - sont calculées pour que les grains ne puissent pas se replanter... D'où de nouvelles dettes. Etc.

Disparition des variétés traditionnelles

"Certains des fermiers qui se sont suicidés avaient réalisé jusqu'à cinquante pulvérisations d'herbicide et de pesticide sur leurs champs de coton, mais cela n'a pas empêché leur récolte de dépérir", affirme le professeur Nanjundaswamy, fondateur du Mouvement pour la Défense des Fermiers du Karnataka (Karnataka Rajya Ryota Sangha - KRRS). Autre conséquence, l'utilisation de ce coton génétiquement modifié aurait "éliminé par pollinisation nombre de nos plantes indigènes qui possédaient par exemple des qualités de résistance à la sécheresse et à certains parasites propres à l'Inde, résistance que n'ont pas les plantes hybrides" affirme le même spécialiste. Pour les défenseurs des OGM, les vraies raisons de cette catastrophe sont la pauvreté rurale, l’alcoolisme, les sécheresses et le "désespoir agraire".

 

En 2006, le ministère indien de l'agriculture déclarait que la moitié des foyers paysans étaient endettés. Selon les ONG, le taux de suicide parmi les fermiers pauvres atteint actuellement des records. 150 000 d'entre eux se seraient donnés la mort depuis 1993. Entre 60% et 75% de la population indienne (contre 10% pour la France et 2% pour les États-Unis), qui compte plus d'un milliard d'habitants, vit de l'agriculture, qui représente un quart du Produit intérieur brut indien.

 

Source: les mots ont un sens  

Lien vers wikistrike :  link

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9 novembre 2011 3 09 /11 /novembre /2011 14:23

  Je vous livre ici, dans son intégralité, le super article du Point et un lien vers celui-ci:

http://www.lepoint.fr/actu-science/thon-rouge-les-revelations-fracassantes-d-un-pecheur-repenti-09-11-2011-1394264_59.php

Thon rouge : les révélations fracassantes d'un pêcheur repenti

      Photo d'illustration

Photo d'illustration © Christine Palasz / PhotoPQR / Le Midi Libre

Selon Vincenzo Consiglio, la pêche illégale a battu son plein dans les eaux libyennes en 2010 et 2011.

Il s'appelle Vincenzo Consiglio. Longtemps il a été spotter, c'est-à-dire un observateur monté à bord d'un avion pour repérer les bancs de thons rouges, ce qui est formellement interdit aujourd'hui. "J'ai même été le commandant d'un thonier-senneur de 1973 à 1993", écrit-il dans une longue lettre envoyée à la Cicta (Commission internationale pour la conservation des thonidés de l'Atlantique).

Du thon rouge, il en a donc envoyé des milliers finir dans l'estomac des Japonais. Mais le grand massacre qu'il a découvert ces deux dernières années depuis son coucou l'a tellement écoeuré qu'il a décidé de vider son sac. Dans son courrier, il dénonce maints actes illégaux qu'il a surpris, et pour être sûr qu'il ne soit pas rangé au fond d'un tiroir, il l'a transmis à Greenpeace et au WWF.

Le Point.fr s'est procuré une copie électronique de cette lettre. Vincenzo explique avoir assisté au printemps dernier à des transferts suspects de plusieurs centaines de tonnes de poissons entre des thoniers italiens et des fermes d'engraissement maltaises. Suspectant l'absence de déclaration de ces captures, il demande à la Cicta de mener une enquête. Il insiste en précisant que beaucoup des thons qu'il a vus n'affichaient pas 30 kilos, le poids minimum requis pour être capturé.

26 avions italiens, espagnols et français illégaux

Par ailleurs, Vincenzo affirme que 70 tonnes des thons rouges morts accidentellement lors des opérations de pêche ont été écoulées illégalement sur les marchés de Naples et de Sicile, sans donc être décomptés des quotas autorisés. Il rappelle que, chaque année, les pêcheurs opérant dans les eaux libyennes oublient de déclarer des milliers de tonnes de thons morts dans des conditions accidentelles. Et de citer le cas en 2009 du thonier le Tenace Secondo, qui entreprit de capturer 500 tonnes de thon lors d'une tempête.

Bilan : le bateau faillit couler et tous les thons périrent. L'année précédente, c'est un thonier français, cette fois-ci, qui ne parvint pas à transférer ses thons dans la cage, ce qui se traduisit par plusieurs centaines de tonnes de poissons morts. "Voulez-vous savoir où se trouvent tous ces poissons morts ? Sur le fond des océans ! Sur les documents de capture, il n'y a jamais plus de dix ou vingt poissons morts d'inscrits, car en Libye... il n'y a pas de marché pour eux, et les autorités libyennes n'autorisent pas les thoniers à quitter leurs eaux avant la fin complète de la campagne de pêche." Quant aux inspecteurs de la Cicta montés à bord, s'ils n'ont rien vu, c'est qu'un "paquet de cigarettes suffit à les acheter".

Il dénonce encore l'utilisation de petits avions pour repérer les bancs de poissons par certains pêcheurs italiens alors que c'est formellement interdit. "Croyez-vous qu'il soit correct que deux groupes (de pêcheurs) utilisent des avions pendant que les autres, sans assistance, doivent rester près des côtes à cause du mauvais temps ?" Les pêcheurs français sont également accusés par lui d'utiliser une assistance aérienne. Vincenzo affirme que lorsqu'il était spotter entre 2007 et 2009 en Libye, basé sur l'aérodrome de Misrata, il a recensé jusqu'à 26 avions italiens, espagnols et français.

Un dépassement de 19 039 tonnes

Et Vincenzo de prévenir la Commission que certains armements italiens (il cite les noms) se préparent d'ores et déjà à investir les eaux libyennes l'an prochain pour effectuer une nouvelle razzia. Il interpelle le directeur de la Cicta : "Cher monsieur, j'espère que ce témoignage sera pris en compte, car je ne peux que vous faire confiance, vous qui êtes chargé de la protection de cette espèce, et s'il vous plaît, diffusez cette déclaration à la prochaine réunion de la Cicta ; si j'ai écrit ce témoignage, c'est parce que j'ai vu des faits incroyables et que même si je sais que mes fils sont impliqués et qu'ils peuvent perdre leur job, je ne peux pas laisser ces irrégularités se poursuivre, et vous pouvez imaginer mon émotion".

Il y a quelques jours, le site internet de la BBC en rajoutait une couche en se disant être en possession d'une carte signalant la présence de nombreux thoniers-senneurs dans les eaux libyennes en juin dernier, alors que la pêche au thon y était fermée pour cause de révolution en cours. "Cette carte ne signale pas quels étaient les navires présents, quoique la Cicta semble posséder cette information", souligne Richard Black, l'auteur de l'article.

Ces révélations interviennent quelques semaines après la publication par l'ONG américaine Pew Environment Group d'une compilation des ventes de thon rouge sur le marché international en 2010. Total : 32 565 tonnes, alors que le quota délivré par la Cicta était de 13 525 tonnes. Un dépassement de 19 039 tonnes ! Des chiffres imparables. Est-il possible de continuer à fermer les yeux sur une telle fraude ?

Le 11 novembre, les 48 gouvernements membres de la Cicta se réuniront à Ýstanbul pour discuter des moyens de protéger le thon rouge. Comme cela tombe bien ! Greenpeace et le WWF se sont empressés d'envoyer une lettre commune à Driss Meski, le directeur de la Cicta, pour lui demander de diligenter des enquêtes sur les allégations de Vincenzo Consiglio et du site de la BBC, d'inscrire les thoniers convaincus d'activités frauduleuses sur la liste noire, et d'ordonner aux fermes qui engraissent les thons pêchés illégalement de les relâcher immédiatement. Pour l'instant, la Cicta n'a pas réagi. Mais le fera-t-elle ?

News Yahoo lepoint.fr/actu-science 09-11-2011

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4 octobre 2011 2 04 /10 /octobre /2011 07:00

Ce trou dans la couche d'ozone qui inquiète les scientifiques

 

ENVIRONNEMENT - Il se trouve au-dessus de l'Arctique...

Un trou d'une taille équivalente à cinq fois la surface de l'Allemagne s'est ouvert dans la couche d'ozone au-dessus de l'Arctique, égalant pour la première fois la diminution observée dans l'Antarctique, ont annoncé dimanche des chercheurs. Provoqué par un froid exceptionnel au Pôle Nord, ce trou record s'est déplacé durant une quinzaine de jours au-dessus de l'Europe de l'Est, de la Russie et de la Mongolie, exposant parfois les populations à des niveaux élevés de rayonnements ultra-violets, ont-ils ajouté.

L'ozone, une molécule composée de trois atomes d'oxygène, se forme dans la stratosphère où elle filtre les ultra-violets qui endommagent la végétation et peuvent provoquer des cancers de la peau ou la cataracte. Ce bouclier naturel est régulièrement attaqué au niveau des pôles au moment de l'hiver et du printemps, en partie à cause des composés chlorés (chlorofluorocarbones ou CFC) utilisés par l'homme dans les systèmes de réfrigération et les aérosols. La production de CFC est désormais quasiment nulle, grâce au protocole signé en 1985 à Montréal.

Une première

Le froid intense reste le facteur principal de la destruction de l'ozone. Sous l'effet du froid, la vapeur d'eau et les molécules d'acide nitrique se condensent pour former des nuages dans les couches basses de la stratosphère. Dans ces nuages se forment du chlore qui aboutit à la destruction de l'ozone. Le trou dans la couche d'ozone est habituellement beaucoup plus important en Antarctique qu'en Arctique car il y fait beaucoup plus froid. Les relevés effectués jusqu'alors au Pôle Nord indiquent que la diminution d'ozone est très variable et bien plus limitée que dans l'hémisphère sud.

Des observations satellitaires menées entre l'hiver 2010 et le printemps 2011 ont pourtant montré que la couche d'ozone avait été soumise à rude épreuve à une altitude comprise entre 15 et 23 km. La perte la plus importante -plus de 80%- a été enregistrée entre 18 et 20 km d'altitude. «Pour la première fois, la diminution a été suffisante pour qu'on puisse raisonnablement parler de trou dans la couche d'ozone en Arctique», estime l'étude publiée dimanche dans la revue scientifique britannique Nature.

«Des valeurs inhabituellement élevées» d'ultra-violets

Le responsable est un phénomène connu sous le nom de «vortex polaire», un cyclone massif qui se forme chaque hiver dans la stratosphère arctique et qui l'an dernier est né dans un froid extrême, a expliqué à l'AFP Gloria Manney, du Jet Propulsion Laboratory, en Californie (Etats-Unis). «La destruction de l'ozone a commencé en janvier, puis s'est accélérée à tel point que les concentrations d'ozone dans la région du vortex polaire étaient bien inférieures à celles de l'an dernier», dit-elle.

Des valeurs particulièrement basses ont été observées «durant 27 jours en mars et au début du mois d'avril, sur une surface d'environ deux millions de km2, soit à peu près cinq fois l'Allemagne ou la Californie», précise la scientifique. Un chiffre équivalent à la destruction de l'ozone en Antarctique au milieu des années 80. Courant avril, le vortex s'est déplacé au-dessus de régions plus densément peuplées de Russie, de Mongolie et d'Europe de l'Est durant une quinzaine de jours. Des mesures effectuées au sol ont montré «des valeurs inhabituellement élevées» d'ultra-violets avant que le vortex ne se dissipe, selon Gloria Manney.

http://www.20minutes.fr/sciences/798334-trou-couche-ozone-inquiete-scientifiques 03/10/2011 News Yahoo

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29 septembre 2011 4 29 /09 /septembre /2011 08:03
Japon : Des voitures électriques à autonomie infinie?

L’autonomie des véhicules électriques est une de leurs principales faiblesses. Des scientifiques japonais proposent une solution originale : la recharge en cours d’utilisation permettrait d’augmenter cette autonomie… potentiellement jusqu’à la fin de la vie du véhicule.

 

 

 

 

Circuit électrique.

Avant de pouvoir mettre en application une technologie de charge en cours de conduite, il faudra réfléchir à la maîtrise des champs électromagnétiques environnants engendrés... © W Mustafeez (Flickr.com)

 

 

 

 

C’est un peu comme les trains qui utilisent l’électricité venant des caténaires en roulant. Des scientifiques des laboratoires Toyota et de l’université de Toyohashi proposent une solution pour régler le problème de l’autonomie des véhicules électriques. L’idée n’est pas nouvelle, l’approche l’est.

Par le passé, les scientifiques avaient pensé à recharger les voitures électriques pendant le roulement, via des bobines qui créeraient un champ magnétique alimentant la voiture. Problème : pour fonctionner, ce type de dispositif doit avoir le “chargeur” et le “chargé” exactement alignés. Masahiro Hanazawa, des laboratoires Toyota, ajoute que “cela peut servir pour charger un véhicule qui est au parking, mais pas pour un véhicule en déplacement.”

Rouler pour recharger

Les chercheurs ont donc conduit une nouvelle expérience, concluante cette fois-ci, en installant une ceinture métallique dans les pneus du véhicule et des barres de fer dans la route. M. Hanazawa explique : “cela permet de maintenir un contact avec le conducteur en permanence. Ainsi, moins de 20% de l’énergie est dissipée dans les circuits.”

Selon l’équipe dirigée côté universitaire par Takashi Ohira, avec suffisamment de puissance, ce type de système pourrait permettre d’alimenter en permanence une voiture électrique. Les chercheurs ont commencé à réaliser un prototype pour le prouver.

Les avantages de cette technologie sont nombreux. Premièrement, résolution du problème de l’autonomie des véhicules électriques et du temps de recharge bien supérieur à celui d’un plein de carburant liquide. D’autre part, on pourrait ainsi réduire fortement le poids des batteries et du véhicule, et donc sa consommation. Les batteries resteraient cependant nécessaires pour aller d’un point de départ jusqu’à la première portion de route équipée avec des barres de recharge.

Circuit électrique géant

Cependant, les défis restent énormes et la solution est critiquée. D’abord, comment creuser des tranchées dans toutes les routes pour y installer des barres conductrices? Un chantier d’infrastructure gigantesque. D’autre part, ces barres nécessiteraient selon certains scientifiques un voltage de 50 000 volts pour être efficace. Mieux vaut ne pas marcher dessus par mégarde…

Enfin, les interférences du champ magnétique généré pourraient endommager le fonctionnement de toute l’électronique du véhicule, de plus en plus présente dans l’automobile. Laissons cependant le temps aux promoteurs du projet de peaufiner leur expérience. S’ils réussissent, finis les arrêts aux stations d’essence et surtout, finis les rejets de CO2 et d’autres polluants par la voiture de monsieur tout le monde !

newscientist.com

http://www.greenetvert.fr/2011/09/29/des-voitures-electriques-a-autonomie-infinie/34136

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26 août 2011 5 26 /08 /août /2011 08:00

 

Équateur : Le champignon qui digère les plastiques

Un groupe d’étudiants en biochimie de l’université de Yale a découvert dans la jungle équatorienne un champignon capable de dégrader le plastique. Saurons-nous un jour comment nous débarrasser de ce matériau qui a fini par polluer les moindres recoins de notre planète?

 

Déchets en plastique.

Bientôt, une simple culture de champignons suffira peut-être pour se débarasser des déchets en plastique. © Sustainable Initiatives Fund Trust

 

 

Tout a commencé avec le voyage en Amazonie des élèves du département de biologie moléculaire et de biochimie de l’université américaine de Yale, dans le cadre de leur travail sur le terrain. Leur objectif consistait à rechercher et à prélever des organismes endophytes, c’est-à-dire des champignons et des bactéries qui passent une partie de leur vie en symbiose dans les tissus des plantes sans provoquer de maladie.

Une fois de retour aux États-Unis, le travail de laboratoire a pu commencer et les élèves se sont intéressés aux différentes propriétés des organismes collectés. Pria Anand a étudié leur activité biologique en présence de plastique. Jeffrey Huang a évalué les capacités des endophytes à briser les liaisons chimiques. Jonathan Russel s’occupait quant à lui d’identifier les enzymes les plus efficaces pour la décomposition du polyuréthane, un matériau très utilisé pour l’élaboration de fibres synthétiques et d’isolants.

La sélection des plantes a été effectuée avec l’aide de Percy Nuñez, un botaniste spécialisé dans les régions côtières et amazoniennes d’Équateur, qui a lui aussi participé à l’étude.

Surprise de laboratoire

Un beau jour, Jonathan a constaté avec surprise qu’une partie du plastique des boîtes de Petri (les récipients utilisés pour les cultures en laboratoire) avait disparu. Les étudiants venaient de découvrir par hasard que le champignon baptisé Pestalotiopsis microspora était capable de dégrader le plastique !

Si les scientifiques ont déjà identifié par le passé des champignons pouvant décomposer partiellement ce matériau, c’est la première fois en revanche qu’ils se trouvent en présence d’un organisme réussissant à le détruire sans présence d’oxygène. Cette découverte pourrait s’avérer fondamentale pour de futures applications concernant le traitement des ordures ménagères, en raccourcissant la durée de vie des polymères.

Les étudiants de Yale espèrent dorénavant que leurs travaux contribueront à améliorer le recyclage des matériaux de synthèse. Même s’ils sont conscients que le développement d’outils à échelle industrielle prendra certainement plusieurs années.

elcomercio.com
http://www.greenetvert.fr/2011/08/25/le-champignon-qui-digere-les-plastiques/30449 25 aout 2011

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9 août 2011 2 09 /08 /août /2011 07:00

Mongolie : Le pays va-t-il devenir la poubelle nucléaire de la planète?
 
La rumeur circule depuis plusieurs mois ; les Chinois s’en inquiètent. Pour la première fois, la presse locale s’en fait l’écho. Et certains redoutent que ce soit vrai : le Japon et les États-Unis seraient sur le point d’enterrer leurs déchets nucléaires en Mongolie.
mongolie_DechetsNucleaires_Paysage-540x323.jpg
Enclavé entre Russie et Chine, le paysage mongolien se compose de vastes plateaux naturels. Avant d'être souillé par des déchets nucléaires? © GAMMA
En mars dernier, des articles de presse évoquaient le sujet. Les États-Unis et le Japon se prépareraient à signer avec la Mongolie un accord sur l’exportation de leurs déchets nucléaires. A l’époque, le ministère des affaires étrangères avait rapidement déclaré que ces “rumeurs” étaient sans fondement. Il rappelait qu’un article de la constitution mongole interdit “l’importation de déchets dangereux en Mongolie”.
Cependant, un article datant de mi-juillet dans le quotidien japonais Mainichi Daily News relance la rumeur. De même que pour les articles de début d’année, la presse chinoise a réagi violemment. L’empire du Milieu s’inquiète de voir déposés à sa porte des déchets nucléaires provenant de deux de ses plus importantes menaces stratégiques. Certains soupçonnent même de vouloir faire d’une décharge nucléaire aux portes de la Chine l’arme ultime en cas de conflit.
3/8/2011 Source: greenetvert.fr.

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31 juillet 2011 7 31 /07 /juillet /2011 07:00

L'agneau à la première place du podium des aliments les plus polluants

 

Le boeuf émet deux fois plus de dioxyde de carbone (CO2) que le porc, quatre fois plus que le poulet et treize fois plus que les protéines végétales comme les haricots. Il est toutefois devancé par l'agneau, qui prend la première place du classement de l'EWG des aliments les plus "polluants"


On l’a évoqué à plusieurs reprises, la viande est néfaste pour l’environnement, contribuant entre autres activement à la déforestation. Les ruminants rejettent par ailleurs d’importantes quantités de gaz à effet de serre (GES) dans l’atmosphère durant la digestion. Des faits éprouvés qui n’ont cependant pas empêché la consommation mondiale de viande d’exploser au cours des quatre dernières décennies…

 

La production a ainsi triplé entre 1971 et 2010 et les experts estiment qu’elle devrait encore doubler d’ici 2050 pour atteindre plus de 544 milliards de kilos par an (!)

L’Environmental Working Group (EWG) a quant à lui calculé l’impact de la consommation de viande et d’autres aliments faisant partie intégrante de notre quotidien sur les émissions mondiales de CO2. Il a pour ce faire jaugé la quantité deCO2 émise lors de chaque étape de leur “vie”, de la production jusqu’à la fin de parcours dans la poubelle.

D’après ses calculs, l’agneau devancerait le bœuf. Alors que ces deux animaux présentent les mêmes caractéristiques – il s’agit de deux ruminants qui se nourrissent de quantités de nourriture sensiblement identiques –, l’agneau émet 50% de plus d’équivalent CO2 pour chaque kilogramme mangé uniquement parce qu’il produit moins de viande comestible que le bœuf.

 

Produire, manger et jeter moins de viande permettrait une baisse notable des rejets carbone

Le fromage produit à partir de lait de vache, qui génère autant de rejets carbone durant sa production que la viande de bœuf, complète le podium. Les auteurs soulignent toutefois que la consommation de fromages moins denses est déjàun peu plus eco-friendly dans la mesure où ils requièrent moins de lait.

Viennent ensuite le porc et le saumon d’élevage, lequel « pollue » plus que son homologue sauvage puisqu’il nécessite une alimentation apportée par l’homme (pêchée, cultivée ou encore pire transformée, par exemple en farine animale). L’EWG a en effet pris en compte les besoins alimentaires de tous ces animaux, ceux-ci faisant partie des « agents de pollution » lors de leur production et supposant le plus souvent des substances nocives comme les pesticides et les fertilisants. Sans parler de l’eau, généralement utilisée en quantités astronomiques.

Contrairement aux viandes précitées, les végétaux émettent quant à eux plus de CO2 après leur production (malgré la possible utilisation de produits chimiques), que ce soit durant leur transformation, le transport, la cuisson ou en fin de vie. Il apparaît en outre qu’une partie considérable de cette pollution pourrait facilement être évitée dans la mesure où un cinquième des émissions proviennent des déchets dits « inutiles », c’est-à-dire de la nourriture comestible et non des rebuts « inévitables » comme les os et la graisse de cuisson. En ce qui concerne le saumon d’élevage, les éleveurs et les consommateurs seraient conjointement responsables d’une perte de 44% de la production.

Aussi y’a-t-il urgence à œuvrer à une meilleure gestion de notre alimentation. Manger, jeter et produire moins de viande pourrait ainsi permettre une réduction substantielle des rejets carbone. Si l’ensemble de la population américaine se convertissait au végétarisme, il en résulterait une diminution de 4,5% des émissions de CO2 nationales, soit l’équivalent de 46 millions de voitures en moins sur les routes (!) Quels que soient les goûts de chacun, le fait est que l’abus de viande n’est pas que néfaste pour notre planète. Il l’est aussi pour notre santé.

Jessica Rat 17/07/2011  zegreenweb.com News Yahoo

http://www.zegreenweb.com/sinformer/lagneau-a-la-premiere-place-du-podium-des-aliments-les-plus-polluants,31244

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17 juillet 2011 7 17 /07 /juillet /2011 07:00

Je vous relate l'excellent article du site Observatoire du nucléaire

Non, la France n'a absolument pas 
"l'électricité la moins chère d'Europe"

 

En ces temps de catastrophe nucléaire au Japon, les promoteurs de l'atome ne cessent de répéter que, "grâce au nucléaire", la France bénéficierait des tarifs d'électricité "les plus bas d'Europe", voire du monde ! 

D'abord, on ne voit pas en quoi cela justifierait de vivre avec la perspective d'une catastrophe similaire ou pire que celle en cours à Fukushima. Mais, surtout, cette affirmation est totalement fausse. Il suffit pour s'en convaincre de se reporter aux chiffres officiels publiés par l'Union européenne. Voici les données consultables, portant sur 2007 (qui ne tiennent donc pas compte du fait que, depuis, EDF a entammé une politique de fortes augmentations du prix de l'électricité vendu en France) :

prix-electricite-UE-2007.jpg

Cf : http://epp.eurostat.ec.europa.eu/cache/ITY_OFFPUB/KS-SF-07-080/FR/KS-SF-07-080-FR.PDF , page 3)

On constate que, dans 12 pays de l'Union européenne, les ménages paient moins cher qu'en France. Dans deux pays, le tarif est comparable, et dans quatorze pays, il est plus élevé qu'en France. Les tarifs en France sont donc à peu près dans la moyenne. La France est en dessous de la moyenne de l'UE car certains pays comme le Danemark ont choisi de taxer très fortement l'électricité pour éliminer les gaspillages (ce qui n'empêche pas de mettre en place des tarifs sociaux pour la consommation de base des ménages modestes).

Les tarifs étaient plus avantageux en France pour les entreprises (cf bas de la page 3) mais, depuis, de fortes augmentations ont eu lieu. Qui plus est, EDF a annoncé de très fortes augmentations (au moins 30% !) tant pour les ménages que les entreprises, et ce pour financer la prolongation de la durée de vie des réacteurs nucléaires.

Il est donc temps que les citoyens de France comprennent qu'ils sont abusés depuis des années par une communication trompeuse : non, la France n'a pas les tarifs d'électricité les plus bas d'Europe, et elle sera bientôt parmi les pays où l'électricité est la plus chère...

Mais il y a encore pire : si le tarif de l'électricité est resté moyennement modéré pendant deux décennies, c'est du fait d'un véritable dumping, un report dans le temps des véritables coûts de l'électricité nucléaire : bientôt, il faudra acquitter des factures incommensurables pour démantèler les installations nucléaires et pour s'occuper (pendant des millénaires !) des déchets radioactifs.

Les Français ont donc mangé leur pain blanc (ou consommé leur "électricité  blanche" !), l'heure des comptes approche. Au final, chacun va s'apercevoir que l'électricité nucléaire est la plus chère qui soit...

 

http://observ.nucleaire.free.fr/prix-elec-france.htm

 

Sans compter que les prix de l'électricité n'a pas arrêter d'augmenter depuis 2007 en France.

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8 juillet 2011 5 08 /07 /juillet /2011 07:00

 

Récolter le sel de la mer Morte pour stabiliser le littoral

 

JERUSALEM (Reuters) - Israël a l'intention de récolter le sel au fond de la mer Morte dans l'espoir de préserver sa côte sud.

Ce projet, dont la mise en oeuvre doit commencer dans les semaines à venir, est censé permettre d'empêcher que les eaux de la mer, dont le niveau monte depuis quelques années à un endroit, n'envahissent un complexe hôtelier érigé au sud-ouest.

Le ministère israélien du Tourisme indique que ce chantier sera financé pour l'essentiel par la compagnie Dead Sea Works, filiale d'Israel Chemicals, deuxième plus grosse entreprise cotée à la Bourse de Tel Aviv, dont l'extraction de potasse est en partie responsable de la modification du littoral.

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, s'engageant à ce que son gouvernement "sauve la mer Morte", a tranché fin juin en décidant que la récolte du sel serait la meilleure méthode à suivre.

L'état de cette mer très salée, située à l'altitude la plus basse sur Terre, à près de 400 mètres en dessous du niveau de la Méditerranée, alarme les écologistes du monde entier. Les trois gouvernements ayant une côte sur cette mer - Israël, la Jordanie et l'Autorité palestinienne, qui siège en Cisjordanie occupée - ont joint leurs énergies pour tenter de la sauver.

Le niveau de la mer baisse globalement au rythme d'un mètre par an, mais la mer Morte est dans les faits constituée aujourd'hui de deux lacs - le bassin le plus étendu au nord, et un autre, plus réduit, au sud; c'est celui que concerne le plan israélien actuel.

Du fait de l'évaporation, les sédiments salés de cette zone de la mer coulent, ce qui provoque une hausse du niveau de la mer dans cette partie-là, de l'ordre de 20 cm par an, et l'eau menace les hôtels du littoral. En continuant de récolter le sel, le niveau de l'eau restera constant, explique Jiwchar Ganor, professeur de géologie et de sciences de l'environnement à l'université Ben Gourion.

Des désaccords persistent sur le financement de l'opération de récolte du sel.

Pour le ministre du Tourisme Stas Misezhnikov, la majeure partie des fonds doivent provenir de Dead Sea Works, qui est le sixième producteur de potasse au monde. "Le pollueur doit être le payeur", estime-t-il.

Mais le vice-président de Dead Works chargé des infrastructures, Noam Goldstein, ne l'entend pas de cette oreille et pour lui, la récolte de 16 millions de mètres cubes de sel doit être financée pour l'essentiel par l'Etat.

Ari Rabinovitch, Eric Faye pour le service français Reuters News Yahoo 03/07/2011

http://fr.news.yahoo.com/récolter-le-sel-la-mer-morte-pour-stabiliser-085847859.html

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Et si vous arrêtiez de fumer? Ne repoussez pas tout le temps la décision à demain, une fois les complications arrivées, vous vous direz si seulement j'avais arrêté...

http://www.dorffer-patrick.com/article-sevrage-tabagique-j-arrete-de-fumer-mais-c-est-dur-tres-dur-65570244.html

 

The session consists first in a group therapy, and then in individual mesotherapy injections under the skin, with a small needle at both ears.
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