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9 juin 2010 3 09 /06 /juin /2010 09:00
 

Un poisson sur trois menacé

  Depuis les années 1950, 7% des espèces marines ont disparu des mers et des océans. Les experts indiquent qu'une espèce de poisson d'eau-douce sur deux est en voie d'extinction et qu'en tout un poisson sur trois est menacé. La quantité totale de poissons péchés a baissé de 5% depuis 2000 en raison de la diminution significative des réserves aquatiques. Voici une liste des principaux poissons en voie de disparition.

 

© Getty (Etalage de thons après une grande pêche au Japon)

 

 

 

En cinquante ans, la population de thon rouge a diminué de 75%, dont 61% ces dix dernières années. Les experts affirment qu'à cette allure, le thon deviendra un poisson rare d'ici trois ans et aura complètement disparu d'ici 2050. Face à ce constat alarmant, l'ONU a étudié en mars 2010 une proposition de loi visant à interdire la commercialisation du thon rouge, à laquelle la France et la Communauté Européenne étaient favorables, tandis que le Japon, premier consommateur de thon rouge, y était farouchement opposé. La proposition de loi a finalement été rejetée, abandonnant le poisson à un avenir incertain.

Le grand requin blanc : les dents de la mer en péril

© Getty (Un grand requin blanc près des côtes mexicaines)

 

 

Ce redoutable et impitoyable prédateur des mers est bien plus une proie pour l'homme que le contraire. Les pêches mal réglementées, la pollution, la modification de son habitat ou la pêche sportive dont il est le plus prestigieux trophée, ont fait baisser de 50% sa population au cours des 15 dernières années. Il fait parti depuis peu des espèces protégées car sa disparition complète pourrait avoir des effets ravageurs sur l'écosystème marin.

Le saumon d'Atlantique : un met de plus en plus rare

© Getty (Des saumons d'Atlantique en train de migrer dans le nord de l'Océan Atlantique)

 

 

En 18 ans, 75% des saumons sauvages ont disparu des eaux. Le saumon étant un des poissons les plus appréciés, il est victime d'une pêche excessive. De plus, les divers barrages et aménagements des fleuves empêchent sa bonne migration et il est également affecté par des maladies transmises par les saumons d'élevage. Sa pénurie se fait ressentir sur le marché alimentaire mais il reste cependant un poisson très lucratif.

L'anguille : plus d'anguilles sous roche

© Getty (Une anguille d'eau fraîche dans les eaux des rivières européennes)

 

 

Cela fait plus de dix ans que l'anguille est classée parmi les espèces menacées. Ses migrations qui s'étendent sur d'énormes distances, des fleuves européens aux mers des Caraïbes, la rendent particulièrement vulnérable car elles l'exposent à toutes sortes de dangers (pollution, constructions humaines, prédateurs...). De plus, les bébés anguilles, les civelles, subissent une pêche intensive qui nuit à son renouvellement.

L'espadon : les ravages de la pêche sportive

© Getty (Un espadon dans l'Océan Atlantique)

 

 

Pour les amateurs de pêche sportive, l'espadon constitue une cible de choix : sa taille peut atteindre 5 mètres de long pour un poids avoisinant 500 kg et une vitesse de pointe à 110 km/h ! Cette pratique fragilise d'autant plus cette espèce déjà victime de la pêche industrielle qui vise les plus jeunes spécimens.

L'hippocampe : victime de la médecine chinoise

© Getty (Un hippocampe dans un récif australien)

 

 

Avec sa silhouette atypique qui rappelle le cavalier du jeu d'échec, l'hippocampe est bel est bien un poisson et, comme beaucoup d'entre eux, il est menacé. Il est très utilisé par les herboristes chinois qui le préconisent pour toutes sortes de traitements. Il est aussi vendu séché comme ornement décoratif. Le nombre de spécimens pêchés chaque année dépasse les 20 millions.

Le cabillaud : un stock asséché

© Getty (Un banc de cabillauds dans la Mer du Nord)

 

 

Le cabillaud, qu'on appelle aussi morue, désigne en réalité les poissons des mers froides de l'ordre des Gadiformes. Il était autrefois le poisson bon marché par excellence mais devient de plus en plus un produit de luxe, tant la surpêche en a épuisé les réserves. Plusieurs études ont démontré qu'un arrêt total de la pêche sur plusieurs années ne suffirait pas à renouveler sa population.

Le poisson botia : des rivières aux aquariums

© DR (Un poisson Botia de type kubotai)

 

 

Le poisson botia n'est pas classé parmi les espèces menacées, mais il tend dangereusement à le devenir. Sa beauté et sa grande vitalité en font un poisson d'aquarium très apprécié. Cependant, il a besoin de vivre en groupe et au moins cinq spécimens sont recommandés par bocal, ce qui pousse les pêcheurs à redoubler d'efforts en asséchant les rivières d'Indonésie. Des recherches sont effectuées pour favoriser la reproduction de ce poisson en élevage.

L'empereur : une maturité sexuelle trop tardive

© Getty (Etalage de poissons empereurs en Australie)

 

 

C'est à partir des années 1980 que la surpêche de ce poisson a commencé, quand de grands bancs ont été découverts dans les océans. Sa population a presque aussitôt été anéantie car le poisson empereur n'atteint pas sa maturité sexuelle avant 20 ans et les femelles ne pondent pas systématiquement chaque année, ce qui en fait une espèce particulièrement lente à se renouveler.

La perche du Nil : l'arroseur arrosé

© Getty (Une perche du Nil s'apprête à avaler un bébé crocodile dans le Nil en Ouganda)

 

 

Introduit dans les eaux du lac Victoria en Afrique de l'Est au début des années 1950, ce poisson s'est tellement bien acclimaté à son nouvel environnement qu'il s'y est reproduit massivement. Mais la perche du Nil a aussi décimé quantité de poissons locaux, des cichlides endémiques du lac. Résultat : on compte aujourd'hui près de 200 espèces éteintes ! Ironie du sort, ce poisson de grande envergure (près de 2 mètres) qui se pêche facilement et se vend à bon prix, est à son tour en danger de disparition à cause de la surpêche.

Le blobfish : dommage collatéral

 

© DR (Le blobfish est une espèce en voie de disparition)

 

 

Ce poisson, aussi indigeste que laid, est voué à disparaître à cause de la pêche, ou plus précisément du chalutage de fond. Cette technique redoutable consiste à racler le fond des mers avec un filet géant. Surtout utilisée pour attraper des homards et certains crabes, elle commet des ravages dans les habitats naturels des espèces des fonds marins.

Le poisson-chat géant du Mékong : les conséquences de l'urbanisme

© Getty (Un poisson-chat)

 

 

Les nombreux barrages du Mékong, les dragages, l'envasement et la pêche ont fortement contribué à ralentir la reproduction de cet énorme poisson qui doit remonter le fleuve jusqu'en Chine du Sud pour pondre ses œufs, une fois qu'il a atteint sa douzième année. Conséquence : en treize ans, sa population a chuté de 80%.

L'esturgeon Beluga : acharnement pour le caviar

© Getty (Un esturgeon)

 

 

Il existe 18 espèces d'esturgeon et toutes sont menacées d'extinction. Le Beluga est l'espèce qui a rejoint le plus récemment cette liste. Ce poisson qui est l'un des plus anciens au monde date de 250 millions d'années et a la capacité de vivre un siècle mais n'atteint la maturité sexuelle que très tardivement. Or, c'est principalement pour ses œufs qu'il est tant prisé : le fameux caviar, considéré comme un produit de luxe extrêmement lucratif.

MSN Chaine verte 04/06/2010

 

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7 juin 2010 1 07 /06 /juin /2010 07:00

lampes-fluorescentes-L-1.jpg

Les lampes fluorescentes

 

Ce sont des lampes basse consommation.

La lampe fluorescente appelée aussi fluo compacte est un prototype fabriqué à partir du tube industriel pour un usage domestique. C’est un tube fluorescent enroulé trois ou quatre fois(voir image ci-dessous).

Ce type de lampe a le même avantage que le tube fluorescent linéaire.

Par apport aux lampes à incandescence classique,

les lampes fluorescentes consomment quatre fois moins d’électricité, pour une production de lumière équivalente. Ainsi une lampe fluorescente consommant 10 watt aura la même luminosité qu’une lampe classique à 40 watts.

Un autre avantage est sa durée de vie qui est de six à quinze fois plus longue que la lampe à incandescence.

Le prix, se situe aux alentours de 5 euros la lampe de 15 Watts,  mais il a tendance à baisser. Ce qui fait un rapport qualité prix très intéressant si on ne tient pas compte des inconvénients:

 

-Ces lampes à basse consommation sont

prévues pour une alimentation stable en électricité.

 

-Elles supportent mal les basses températures(ce qui fait un mauvais rendement dans des conditions hivernales). Dans ces cas les lampes doivent être souvent remplacées et il n’y donc aucun intérêt à acheter des fluo compacte.

 

-Comparée aux lampes à incandescence elles sont parfois plus volumineuses et plus lourdes pour une même luminosité.

 

-Leur système électronique n’est pas adapté pour supporter certaines conditions extérieure (humidité, exposition aux rayons du soleil, différences de températures)

 

-Il faut attendre quelques dizaines de secondes avant que ces lampes atteignent leur intensité lumineuse maximale. Ce qui n’est pas efficace si la lampe ne sert que pour de courtes périodes.

-L’allumage et l’extinction trop répétitive de la lampe diminue la durée de vie de celle-ci.

 

- le spectre de la lumière n’est pas complet ce qui fait que certaines couleurs sont déformées.

-Dans le tube, la présence de poudres fluorescentes et d’un gaz à base de vapeur de mercure, fait que ces lampes constituent un déchets dangereux pour l’environnement, ce qui nécessite une élimination particulière(comme pour les piles).

Certain voire tous ces inconvénients peuvent être supprimés si vous les connaissez bien et que vous vous organisez de façon optimale, suivant l’endroit ou vous habitez.

Ce qui peut vous rendre gagnant à long terme… si votre but est avant tout d’économiser de l’énergie, donc de l’argent.

 02 juin 2010 paperblog.fr Laurian888

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29 mai 2010 6 29 /05 /mai /2010 07:00

 

 

La biodiversité

 

La biodiversité est la diversité naturelle des organismes vivants. Elle s'apprécie en considérant la diversité des écosystèmes, des espèces, des populations et celle des gènes dans l'espace et dans le temps, ainsi que l'organisation et la répartition des écosystèmes aux échelles biogéographiques.
Le maintien de la biodiversité est une composante essentielle du 
développement durable.

Le mot « biodiversité » est un néologisme composé à partir des mots biologie etdiversité.

Au Sommet de la Terre de Rio (1992), sous l'égide de l'ONU, au travers d'une convention mondiale sur la biodiversité, tous les pays ont décidé de faire une priorité de la protection et restauration de la diversité du vivant, considérée comme une des ressources vitales du développement durable.

Puis le sommet européen de Göteborg en 2001, dans l’accord sur une Europe durable pour un monde meilleur s'est fixé (pour l'Europe) un objectif plus strict : arrêter le déclin de la biodiversité en Europe d’ici 2010 (année mondiale de la biodiversité pour l'ONU).

Le Programme des Nations unies pour l'environnement a annoncé le 12 novembre 2008 la création (au printemps 2010 ?) d'un groupe intergouvernemental d'experts sur la biodiversité, qui sera probablement nommé Intergovernmental Science-Policy Platform on Biodiversity and Ecosystem Services (IPBES)2, sur le modèle du GIEC qui, lui, s'occupe du climat.

Source Wikipédia

QU’EST-CE QUE LA BIODIVERSITÉ ?

Le grand scientifique américain, Edward O. Wilson, considéré comme l’inventeur du mot biodiversity, en donne la définition suivante :

« la totalité de toutes les variations de tout le vivant »
Selon les scientifiques, la biodiversité est la dynamique des interactions dans des milieux en changement. Elle se décline 
en diversité écologique (les milieux ), diversité spécifique (les espèces), et diversité génétique.

Cette définition met en évidence deux notions essentielles :

  1. la biodiversité c’est « tout le vivant » , donc l’homme en fait partie.
  2. la biodiversité c’est la dynamique des interactions. Or si l’on parle maintenant autant de biodiversité, c’est bien à cause d’interactions essentielles dont celles causées par nos activités.

Cette définition nous enseigne que protéger la nature c’est protéger la capacité d’adaptation du vivant. Il faut avoir en mémoire que pour une espèce qui disparaît de nombreuses interactions disparaissent.

Supprimer une espèce c’est donc changer le cours des choses, une atteinte à la liberté qu’a le monde de se déployer ( Jacques Blondel- CNRS lors de la Conférence de Paris sur la biodiversité en janvier 2005).

La biodiversité est un concept scientifique mais c’est également du concret, elle inclut en effet :

  • des valeurs morales, esthétiques et culturellesC’est l’animal qui a le droit de vivre ou le paysage que l’on admire.
  • des productions de biens tels que nourriture, bois, textiles, médicaments. C’est la variété de nos fromages ou 70% de certains de nos médicaments des plus importants.
  • des équilibres globaux et différents phénomènes comme la pollinisation, la qualité des eaux, la fertilité des sols, la protection contre les maladies. Dans une région himalayenne on a dû réintroduire des insectes pollinisateurs pour maintenir la production de fruits. En France 75% des rivières sont polluées par les pesticides.  Source: roc.asso.fr/biodiversite

 

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28 mai 2010 5 28 /05 /mai /2010 09:00

 

La bouse de vache au secours

du green IT ?

Pour répondre au besoin croissant en énergie propre des nouvelles technologies, les entreprises envisagent toutes les possibilités, même lorsqu’elles paraissent loufoques.

 

 

vaches

vaches

 Après avoir investi dans le solaire et l’éolienne, Google, Hewlett-Packard et consorts investiront-ils dans le fumier ? Une idée pas si saugrenue qui est prise au sérieux par les géants de l’informatique.

Les vaches, c’est bien connu, sont l’ennemi numéro un de la planète. Leurs éructations et flatulences riches en méthane contribuent à l’effet de serre, à l’origine du réchauffement climatique.

Que faire ?

Une affaire de bouse

 

Il faut valoriser nos amies les vaches, et en particulier leurs bouses, scandent en chœur Google, HP, et autres propriétaires de centres de données. Comment ?

En traitant les bouses pour produire du biogaz, qui alimenterait en énergie renouvelable tous les serveurs des centres de données.

Bien qu’originale, l’idée n’est pas nouvelle. Une telle centrale existe déjà à Leeuwarden aux Pays-Bas depuis fin 2009. Son principe n’a rien d’extraordinaire : un mélange de bouse, d’herbe, et de restes alimentaires est laissé à macérer, libérant du méthane alors acheminé vers la centrale par des tuyaux.

HP se met au vert

 

Cette méthode ne laisse pas indifférent Hewlett-Packard, qui vient récemment de faire parler de lui grâce à son centre de données anglais refroidi par le vent marin. Dans un rapport publié hier, HP annonce qu’un éleveur propriétaire d’une coopérative laitière pourrait utiliser son bétail afin de produire du biogaz dont l’énergie finalement produite serait alors rachetée pour alimenter les centres de données.L’intérêt est double : d’un côté, les centres de données sont toujours situés en zone rurale et pourraient donc facilement s’intégrer dans un tel circuit de production d’électricité verte ; de l’autre les fermiers pourraient retirer des bénéfices en plus de leur activité laitière.

La simplicité et le relativement faible investissement nécessaire, tant en terme financier qu’en terme de savoir-faire, sont aussi une occasion pour les pays en fort développement comme la Chine ou l’Inde d’alimenter leurs futurs centres de données avec des énergies renouvelables.

Une bouse achetée, une ampoule offerte

Et les vaches dans tout ça ? Chacune produit suffisamment de bouse chaque jour pour alimenter une ampoule de 100 W. Selon le rapport de HP, avec un cheptel de 10 000 vaches il serait possible de fournir en électricité l’équivalent d’un centre de données de 1 MW, soit un petit centre informatique utilisé par une banque.Cerise sur le gâteau, la chaleur produite par les ordinateurs peut être utilisée pour chauffer la centrale au biogaz, dans un cercle vertueux (bien que bouseux).

Reste que l’investissement est lourd : avec 5 millions de dollars plus 30 000 dollars annuels, il est difficile pour les producteurs de lait de mettre autant d’argent sur la table. C’est pour cela que les grosses compagnies de nouvelles technologies se chargeraient de cet investissement, les fermiers n’ayant alors plus qu’à vendre leur fumier. Pour le moment, HP n’a pas encore déboursé quoi que ce soit mais s’est déclaré très intéressé par cette méthode de production. Heureusement que les vaches sont là…

 Crédit photo : brentdanley - Flickr MSN CHaine Verte Greenzer.fr

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23 mai 2010 7 23 /05 /mai /2010 15:00

 

La voiture éolio-solaire Icare part autour du monde

 

 

Icare doit parcourir 40'000 km d'ici l'automne 2011 à l'aide du vent et du soleil. [Keystone]
Icare doit parcourir 40'000 km d'ici l'automne 2011 à l'aide du vent et du soleil. [Keystone]
Le vent et le soleil pour faire le tour du monde, qui n'en a pas rêvé? Icare veut montrer que c'est possible. Le véhicule éolio-solaire a démarré son périple samedi à Yverdon-les-Bains (VD). Avec comme thématique générale: la compensation de CO2 à l'étranger.

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23 mai 2010 7 23 /05 /mai /2010 07:00

 

Plus de poissons dans les océans dans 40 ans?

Une bonne part des réserves de poissons a déjà disparu. [Reuters]
Une bonne part des réserves de poissons a déjà disparu. [Reuters]
Le cauchemar d'océans d'où tous les poissons auraient disparu pourrait se concrétiser d'ici à 2050 en l'absence d'une restructuration profonde du secteur de la pêche, ont mis en garde lundi des experts de l'ONU.

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17 mai 2010 1 17 /05 /mai /2010 09:00

 

Vous ne voulez pas d'OGM ?

 

C'est toujours le moment de le dire. La loi française adoptée le 22 mai 2008 légalise la contamination génétique et n'est donc pas acceptable. Le 7 mai 2010, un amendement proposé par les députés Yves Cochet, Noël Mamère et François de Rugy (Verts) a été rejeté :

 

"La mise en culture, la récolte, le stockage, et le transport de végétaux génétiquement modifiés est interdite".

 

Pourtant, cette interdiction correspond à la volonté générale et devrait donc figurer dans une loi. Notre campagne continue donc. Vous pouvez continuer à signer et faire signer la pétition ! 

http://www.ogm-jedisnon.org/?Petition

 

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16 mai 2010 7 16 /05 /mai /2010 09:00

L’OR a lancé une capsule de café expresso compatible avec les machines Nespresso®

Rien n’a été négocié avec le groupe Nestlé, nous a assuré Jacques Deret, président de Sara Lee Coffee & Tea France qui a lancé le 7 avril 2010 L’OR Expresso, une gamme de capsules compatibles avec les machines à café Nespresso®, marque de Nestlé.

Texte AlternatifAprès Ethical Coffee Compagnie et Casino, c’est donc au tour d’une des marques de café de Sara Lee de jouer les troublions sur un marché qui a rapporté l’an dernier au groupe suisse un chiffre d'affaires de 2,8 milliards de francs suisses (Le Figaro). Lancé avec quatre références de café, le paquet de 10 capsules L’OR Expresso est proposé avec un prix de vente conseillé de 2,99 €. Une baisse notable comparée au prix unitaire de la dosette suisse. De quoi faire prendre la tasse à Nespresso ? En France, le marché du café en dosettes est estimé à 1 milliard d'euros (Le Figaro) et Nespresso y a réalisé un chiffre d’affaires de 412 M€ en 2008.
J. Deret a avoué avoir de grosses ambitions pour ce nouveau développement avec le déploiement d’importants moyens pour accompagner la commercialisation de L’OR Expresso. «Notre part de marché en valeur qui était de 16% en 2002 a atteint 23% en 2009. Nous espérons atteindre 25% dans un an» nous a confié le président de Sara Lee Coffee. L’OR Expresso est présenté comme une valeur 100% additionnelle par le groupe. Alors que la capsule Nespresso® (qui serait protégée par plus de 1000 brevets) est en aluminium et étanche, la capsule l'OR Expresso est en plastique transparent bio-végétal et bio dégradable en 6 mois? et se caractérise par un fond et un opercule micro-perforés.

Une perforation qui permet de découvrir tous les arômes de ce café 100 % arabica, et de libérer avec l’eau qui passe à travers ces perforations un expresso de grande qualité, explique la marque. Ce qui justifie aussi le sachet protecteur. Les capsules de L’OR Expresso sont produites dans une usine européenne du groupe où ont été installées plusieurs lignes de production qui assurent le thermoformage de la capsule, son operculage, son ensachage et leur regroupement par dix dans des boîtes de vente.

La couleur noir du packaging confirme la dimension premium du produit. L’OR Expresso sera référencé dans la plupart des enseignes :

Monoprix, Carrefour, Auchan, Leclerc, Match, Intermarché….

31 mars 2010 emballagedigest.fr

 

Avantage:



-Le plastique des capsules est bio-végétal transparent et bio dégradable en 6 mois?, donc recylable   



 

 

- Le café coule plus lentement voir pas du tout avec les capsules compatibles L'OR,

dans ce cas, il faut agrandir les trous côté perforé, et ne pas être pressé, car le temps d'écoulement du café est au moins multiplié par 2 ou 2,5

avec la machine Magimix de Nespresso.

 Encore un inconvénient et non des moindres !

 

- Le goût du café est moins prononcé, même l'arôme du café qui coule est moins prononcé, les connaisseurs seront très déçus.

- trop d’emballage !!
- pas d’indication d’intensité du café
- peu de variété, de choix

 

Doc 26/02/2011



Liens:



Inconvénients:  

 

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15 mai 2010 6 15 /05 /mai /2010 15:00

 

Un geste vert : le recyclage du verre

 

recyclage verre
 

 

 

Le cycle du recyclage du verreAlors que la plupart des filières de recyclage font face à une baisse de la consommation et donc des besoins en matières recyclées, le recyclage du verre tire son épingle du lot. Depuis le 1er janvier, le prix de reprise des déchets de verre d'emballage par la filière Verre Avenir, a augmenté de 62 centimes par tonne collectée.

Verre Avenir est le Département Communication de la Chambre Syndicale des Verreries Mécaniques de France. Créé en 1980, il a pour mission principale de promouvoir le verre d'emballage et son recyclage auprès du public. Verre Avenir informe également les collectivités locales sur tous les aspects du recyclage et organise avec elles des opérations spéciales pour développer la connaissance du recyclage et inciter le public à recycler son verre d'emballage dans le respect des consignes de qualité.Il est en effet important de souligner que le verre se recycle à l’infini et que rien ne distingue une bouteille de verre composée de matières premières d’une bouteille fabriquée avec du verre recyclé.

De plus, le recyclage du verre évite le rejet de plus de 2 millions de tonnes de déchets ménagers par an, souligne Michel Gardes (président de la Fédération des Chambres Syndicales de l'Industrie du Verre). Le geste écolo du recyclage du verre permet également de diminuer le volume des déchets et de valoriser au maximum les déchets ménagers en évitant la mise en décharge ou l'incinération. Il est donc primordial aujourd’hui de recycler le verre.

En 2008, 1,9 millions de tonnes de verres ont été collectées, par conséquent, plus de 61% du verre ménager est trié et recyclé en France. C’est bien mais nous pouvons faire mieux ! Le Grenelle de l'Environnement s’est fixé pour 2012 un objectif de recyclage des emballages ménagers, tous matériaux confondus de 75% car actuellement, plus d'un million de tonnes de verre ne sont pas triées par le consommateur.

Il est donc temps pour tous les français de devenir éco-responsables et d’adopter l’un des éco-gestes primordial, le tri sélectif. Adoptons tous le geste verre !

Copyright Photo : http://www.syndicat-centre-herault.org/Le-recyclage-du-verre.html

Crédit Photo : exfordy / Flickr greenzer.fr 10/03/2009

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15 mai 2010 6 15 /05 /mai /2010 09:00

 

Les plantes dépolluantes :

où et pourquoi ?

fougere-boston
 

 

 

fougere-boston

C’est la sur Greenzer.fr. Cependant, nombre d’entre nous n’ont pas la chance d’avoir un jardin. Ce n'est pas une raison pour se désintéresser des plantes ! Le choix des plantes d’intérieur peut se faire de façon très pragmatique. En effet, il existe un large panel de plantes que l’on appelle les plantes dépolluantes. Ces plantes dépolluantes ont des propriétés qui contribuent de façon très significative à l’amélioration de la qualité de notre air d’intérieur.

 

En effet, dans nos maisons, appartements et sur notre lieu de travail, on note que l’air et de 10 à 100 fois plus pollué qu’à l’extérieur. Peintures, isolants, produits d’entretien et colles sont autant de produits que l’on retrouve dans tous nos intérieurs et qui contribuent fortement à la pollution de notre air ambiant. Alors qu’on pense à la pollution extérieure, on oublie la pollution de nos intérieurs, où nous passons pourtant 80% de notre temps en moyenne. Un air intérieur pollué peut avoir des effets très nocifs sur la santé tels que toux, migraines et irritations.

 

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Il est pourtant très simple d’éviter ces dangers quotidiens ! La première chose, indispensable, est d’aérer régulièrement votre espace, qu’il s’agisse de votre lieu de vie ou de travail. Il faut éviter les excès de chauffage, mieux vaut mettre une veste et baisser un petit peu l’intensité du chauffage. Utiliser des matériaux de construction écologique réduira aussi ce genre de pollutions, au même titre que des produits d’entretien écolo.

Et, finalement, on peut aisément réduire la pollution de notre intérieur en installant des plantes dépolluantes.

 

Comment ça marche ?schema_comment_les_plantes_depolluent701

 

Les plantes dépolluantes et leurs effets

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  • Contre l'odeur du tabac :

En installant dans les pièces communes des plantes captant entre autre le benzène de la fumée : lierre, sanséviera, dracaena, philodendron, azalée et chlorophytum.

 

  • Humidifier l'air :

Il faut privilégier les plantes émettant de la vapeur d'eau telles que le dieffenbachia, le gerbera et le pothos. La fougère permet aussi d'humidifier l'air et de lutter contre l'électricité statique.

 

  • Contre les odeurs de peinture :

Chrysanthèmes et philodendrons sont de bons dépolluants de trichloréthylène, utilisée dans les peintures et les solvants. Ils dépollueront l’air de vos pièces fraichement peintes.

 

  • Contre le formaldéhyde :

C’est un conservateur que l'on trouve dans les produits qui nous entourent : dans la fumée de tabac, dans les meubles et armoires, dans les tissus, dans les produits ménagers et autres produits tels que les laques, colles, vernis à ongle, peintures… Contre ce produit : le ficus, un lierre, un pothos, un palmier, un Phoenix roebelenii, un Dracaena fragans ou un aglaonema. Ces plantes trouveront leur place dans votre salon.

 

  • Contre l'ammoniac :

Il est présent dans beaucoup de nos nettoyants ménagers. Contre ce produit, l'azalée et le palmier trouveront leur place dans la cuisine ou la salle de bains. L'anthurium, le lierre et le ficus seront aussi efficaces contre l’ammoniac dans vos salons et cuisines.

 

  • Les multifonctions :

Certaines plantes cumullent plusieurs propriétes. Elles dépolluent et humidifient votre air. Plaçables n’importe où dans votre maison ces plantes sont les suivantes : le spathiphyllum, le schefflera, la fougère de boston et l'Areca dypsis lutescens.

 

Les plantes dépolluantes sont un moyen naturel d’améliorer esthétiquement et simplement l’air que nous respirons.

Crédit Photo : amysphere / Flickr

Source des visuels :  www.plantairpur.fr greenzer.fr 18/03/2009

 

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L'humour Est La Meilleure Thérapeutique

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  • : Humour, Nutrition et santé, Politique, Sport, Histoire, Alsace, Râler, Actualités
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STOP TABAC & ANTI-SMOKING THERAPY

Et si vous arrêtiez de fumer? Ne repoussez pas tout le temps la décision à demain, une fois les complications arrivées, vous vous direz si seulement j'avais arrêté...

http://www.dorffer-patrick.com/article-sevrage-tabagique-j-arrete-de-fumer-mais-c-est-dur-tres-dur-65570244.html

 

The session consists first in a group therapy, and then in individual mesotherapy injections under the skin, with a small needle at both ears.
The mixture injected is purely homeopathic, it causes the disgust of the cigarette, he fought against the urge to smoke, irritability, and against the craving.
One session is required in almost all cases. 

Nicotine withdrawal by homeopathic mesotherapy 

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J'adore la vie, l'humour, et bien plus

J'adore la vie, l'humour, les critiques objectives ou parfois pas, une soif d'informations. Je râle, je pousse des coups de gueule, je m'exprime, j'informe.

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