La métaphore employée par les scientifiques est très parlante. En comparant les neurones actifs aux membres des réseaux sociaux tels Facebook, il devient beaucoup plus simple de comprendre la découverte qui vient d'être faite. Ils expliquent que certains amis de notre réseau sont très peu connectés et interviennent peu.
D'autres, au contraire, sont souvent connectés et mettent très régulièrement à jour leur statut et les informations les concernant.
Les neurones, comme ces derniers, sont beaucoup plus connectés à d'autres ; de plus, tout en échangeant davantage d'informations et de données, ils sont aussi plus susceptibles d'en recevoir d'autres de neurones (ou de membres), eux aussi particulièrement actifs.
MaxisciencesNews Yahoo 15/01/2011