Le curcuma, également appelé safran d'Inde, est depuis de nombreuses années étudié dans le cadre de recherches sur le traitement des blessures et des maladies cérébrales. Toutefois, cette épice n'est pas bien absorbée par l'organisme et se dilue trop rapidement pour atteindre ses cibles. En outre, un système de protection naturel empêchant des substances étrangères de pénétrer dans le cerveau la bloque.
La molécule CNB-001, elle, ne présente pas ces inconvénients. Elle est "dotée d'un grand nombre des mêmes vertus que le curcuma mais avec la capacité de franchir sans problème la barrière naturelle de protection cérébrale et pouvant ainsi être rapidement acheminée et distribuée dans le cerveau et doper plusieurs mécanismes clés jouant un rôle dans la survie des neurones", souligne Paul Lapchak.
Maxisciences News Yahoo 12/02/2011