« Le virus du chikungunya aussi malin que celui du sida »
La Croix note en bref que « des chercheurs français (CEA, Inra, IRD, CNRS, université d’Orsay et Ecole vétérinaire de Nantes) viennent de découvrir que le virus du chikungunya réussissait à se cacher au sein même des macrophages, les «cellules dévoreuses» du système immunitaire ».
« Ce qui explique que les symptômes de la maladie (douleurs articulaires, musculaires, hépatiques) peuvent persister plusieurs mois après la phase aiguë de l’infection », continue le journal.
Le quotidien remarque que « cette avancée ouvre des pistes thérapeutiques, aussi bien préventives que curatives ».
Laurent Frichet Médiscoop 02/03/2010