Bonne santé aux patients,

pourvu que les cas pénibles

ne reviennent pas trop souvent,

 ou changent de toubib !

Ce ne sera plus le cas

dans les déserts médicaux.

Comme on dit alors,

BONNE SANTE, mais pas trop quand même !

En fait, rien de trop grave, hein ?

Quand les longues journées de boulot se rallongent encore lors des épidémies,

les voeux de bonne santé du médecin

ne changent en rien la fatalité d'une maladie.

Si seulement ?

C'est un gars qui a des maux d'estomac carabinés. Il va voir son médecin de famille pour lui demander ce qu'il peut faire. Le médecin lui dit que c'est une sévère gastrite qui pourra se guérir au moyen d'un nouveau traitement disponible uniquement sous forme de suppositoires.
- Comme le traitement est tout nouveau, prévient le médecin, les suppositoires ont une taille qui n'est pas appropriée. Il vous faudra malgré tout en prendre un trois fois par jour.
Et le médecin lui dit... qu'il va lui introduire le premier pour voir si tout est OK, et si oui, il pourra continuer le traitement à la maison, en utilisant de la vaseline au besoin. Après l'avoir prévenu de la douleur à venir, le médecin dit au gars de se pencher et introduit le suppo.
Puis le gars rentre chez lui. Le soir, vient le moment de la prise de son traitement. Il essaie d'abord de s'introduire le suppo tout seul, mais n'y parvient pas. Il appelle sa femme et lui demande de prendre de la vaseline. Sa femme arrive, lui dit de se mettre en position, met une main sur son épaule et introduit le suppo...
À ce moment là, le gars pousse un hurlement! Sa femme lui demande:
- Qu'est-ce qui se passe? Je t'ai fait mal ?
- Non, c'est pas ça. Je viens juste de réaliser que quand le médecin m'a mis le suppo tout à l'heure, il avait les deux mains sur mes épaules.