Chaton VIP

Un grand antiquaire parcourt la campagne pour dénicher au meilleur prix des meubles ou des objets anciens.

Il arrive dans une ferme et voit un petit chat qui boit son lait dans une écuelle qu’il identifie immédiatement comme datant de l’époque romaine. Une pure merveille !

Cachant du mieux possible son enthousiasme, il dit au paysan :

– Ma femme a toujours eu envie d’avoir un chat. Si vous voulez vous débarrasser de celui-là, je vous l’achète…

– Pourquoi pas ? répond le fermier. Si vous me donnez deux cents euros, il est à vous.

– Marché conclu ! dit l’antiquaire.

Il sort deux billets de cent euros, les donne et ajoute nonchalamment :

– Pour qu’il ne soit pas trop dépaysé, je vais emmener son bol…

– Ah non ! fait le fermier, le bol vous le laissez ici ! Depuis le début de l’année, il m’a déjà fait vendre quinze chats !

Adultère utile

C'est l'histoire d'un gars qui suspectait sa femme de le tromper.
Comme il devait s'absenter plusieurs jours pour affaires et qu'il était de la famille à Mac Gyver, il eut l'idée d'un système ingénieux destiné à garder la trace d'un possible adultère: avant de partir, l'homme plaça un bol rempli de lait sous le lit. Il accrocha ensuite au sommier une petite cuiller, de telle manière que la cuiller ne trempe dans le lait que si le sommier supportait le poids de deux personnes.
Si tel était le cas, la cuiller garderait forcément la trace du lait séché, et le mari aurait la preuve de la trahison de son épouse.
Lorsque l'homme revint de son voyage, il alla voir sous le lit si la petite cuiller avait trempé dans le lait... et il retrouva un bol repli de beurre.

Ruse d'antiquaire

déjouée

Un grand antiquaire parcourt la campagne pour dénicher au meilleur prix des meubles ou des objets anciens.

Il arrive dans une ferme et voit un petit chat qui boit son lait dans une écuelle qu’il identifie immédiatement comme datant de l’époque romaine. Une pure merveille !

Cachant du mieux possible son enthousiasme, il dit au paysan :
– Ma femme a toujours eu envie d’avoir un chat. Si vous voulez vous débarrasser de celui-là, je vous l’achète…
– Pourquoi pas ? répond le fermier. Si vous me donnez deux cents euros, il est à vous.
– Marché conclu ! dit l’antiquaire.

Il sort deux billets de cent euros, les donne et ajoute nonchalamment :

– Pour qu’il ne soit pas trop dépaysé, je vais emmener son bol…

– Ah non ! fait le fermier, le bol vous le laissez ici ! Depuis le début de l’année, il m’a déjà fait vendre quinze chats…