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11 mars 2010 4 11 /03 /mars /2010 00:24

 

LIGUE DES CHAMPIONS:
Lyon l'a fait !

 

Scène de joie autour du buteur lyonnais, Pjanic

Scène de joie autour du buteur lyonnais, Pjanic

AFP - PIERRE-PHILIPPE MARCOU
Victorieux au match aller (1-0), Lyon a parfaitement géré sa rencontre pour décrocher le match nul (1-1).

Pour avoir sous-estimé leur adversaire à Gerland, les Madrilènes étaient repartis bredouilles. A domicile, l'objectif était de rétablir la hiérarchie. Mais face à une équipe de Lyon solidaire, les Galactics n'ont pu refaire leur retard. Les Lyonnais obtiennent un match nul (1-1) et réalise le plus bel exploit de leur histoire européenne.

Karim Benzema, souffrant toujours d'une pubalgie, ne participait pas au match, l'encadrement madrilène préférant le préserver en vue de la suite de la saison. A Lyon, Michel Bastos était absent en raison d'une douleur musculaire.

L'OL crée la sensation

" Lyon va voir qu'à Bernabeu celui qui commande, c'est Madrid ". La déclaration de Cristiano Ronaldo avait d'abord fait trembler la conférence de presse d'avant-match avant de se transformer dans les faits. Après une ouverture de Guti, "CR9" fait parler sa vitesse face à Cris et glisse la balle entre les jambes de Hugo Lloris. La star portugaise signant là son 7e but de la compétition. Infranchissable depuis six matchs (soit 620 minutes), le bloc défensif lyonnais a explosé d'entrée face au rouleau compresseur madrilène. S'en suit une première mi-temps archi dominatrice des Merengue euphoriques, multipliant les occasions de buts. Devant une pareille démonstration, les chances de qualifications lyonnaises semblent bien minces. D'autant plus qu'à la 25e minute, Gonzalo Higuain se retrouve seul face au but vide de Lloris et tire sur le poteau. Certainement le tournant du match. En effet, l'action semble marquer un coup d'arrêt pour les Espagnols, ou plutôt le début de la baraka lyonnaise. Les joueurs de Claude Puel vont, bon an mal an, tenir jusqu'à la mi-temps sur ce score finalement flatteur. L'entraîneur lyonnais le reconnaitra après le match : "On a évité le pire en première mi-temps. Bravo aux joueurs car ils sont allés au bout d'eux-mêmes."


"Lyon a plus été une équipe que nous"

 "Nous croyons sincèrement à nos chances même si Madrid reste le favori" affirmait le capitaine Cris avant le match. "Ce n'est ni plus ni moins qu'un match entre 22 footballeurs et leurs stars ne nous inquiètent pas plus que ça. Le tout, c'est d'y croire et d'être costaud dans les têtes." Costauds dans la tête, les joueurs de Lyon l'ont été. De retour des vestiaires, ils affichent un tout autre visage. Le match s'équilibre et gagne en intensité. L'Argentin Lisandro alerte pour l'une des première fois Casillas à la 50e minute d'une frappe de 30 mètres mais Casillas repousse. Le miracle survient à la 75e minute grâce à un déboulé dans la surface de César Delgado puis une remise de Lisandro. Miralem Pjanic, bien placé récupère le ballon et fusille Iker Casillas. Stupeur dans le stade après ce but de Lyon à l'extérieur. Mathématiquement, il faut alors que le Real marque deux fois pour revenir. Ils n'y parviendront pas. Pour la cinquième fois consécutivement le Real madrid est éliminé en 8e de finale de la Ligue des Champions. Lyon de son côté réalise la performance qui manquait à son palmarès : éliminer un grand d'Europe. Au micro de la télévision espagnole, la défaite est amère pour Guti.
"Je crois que Lyon a plus été une équipe que nous, il faut dire la vérité. En deuxième mi-temps) Je crois que nous ne sommes pas sortis comme nous devions. Et eux, ils ont joué avec plus d'intensité. Toutes les années sont douloureuses (à propos de cinq élimintations précédentes du Real), cette année aussi, et beaucoup plus encore".


Les déclarations :

Iker Casillas (gardien du Real Madrid): "Nous ressentons tous beaucoup de rage. Nous sommes tous très en colère. C'est dur à digérer, surtout pour les joueurs qui sont ici depuis longtemps. C'est un coup de massue. Je demande pardon aux supporteurs pour cette défaite en Ligue des Champions, dans laquelle nous avions placé les plus grands espoirs. Nous devons assumer notre part de responsabilité".

Esteban Granero (milieu du Real Madrid): "On aurait pu mener plus à la mi-temps. En seconde période, on a le contrôle du jeu mais ils jouent bien. C'est un coup très dur pour nous et les supporteurs, qui méritaient mieux. Cela ne va pas du tout nous aider pour le Championnat".

Claude Puel (entraîneur de Lyon): "Le match aller avait été de qualité de notre part et nous avons confirmé sur le second même si en première période nous avons été en difficulté par le jeu en profondeur, technique et rapide du Real. Nous avons été un peu chanceux avec un tir sur le poteau contre nous. Nous avons modifié notre schéma en seconde période. Cela nous a permis de gagner dix mètres sur le terrain alors que le Real a baissé physiquement après avoir produit beaucoup d'efforts avant la mi-temps. Nous avons mis plus de liant et de qualité dans notre jeu. Nous avons pu prendre la largeur. Nous avons pu faire courir le Real qui aime bien avoir le
ballon et c'est là que nous avons réussi notre match. Sur la seconde période, notre qualification est méritée car il a fallu un grand Lyon. Les changements ont été déterminants car les joueurs sont bien rentrés. Jean-Alain Boumsong a un problème musculaire et Makoun également, aux adducteurs. Lisandro aussi mais il a réussi a tenir le match. Nous avons tout changé à la mi-temps. Ce groupe est en train d'écrire sa propre histoire. Il faut garder le cap".

10/03/2010 Vincent Fossiez Info France 3

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7 mars 2010 7 07 /03 /mars /2010 19:50

 

RALLYE DU MEXIQUE:
Loeb reste le patron

Loeb affûté

Loeb affûté

AFP-Schemidt
C'est devenu habituel, Sébastien Loeb a remporté le rallye du Mexique, dimanche à Leon.

Le sextuple champion du monde français a une fois encore écoeuré la concurrence en signant une 55e victoire. Il s'agit en outre de son quatrième succès au Mexique, après 2006, 2007 et 2008. Cette victoire permet au pilote alsacien de compter six points d'avance sur Hirvonen, vainqueur en Suède, en vertu du nouveau barème de points.

Le Français a pris le dessus dès samedi, et terminé devant Petter Solberg et Sébastien Ogier, sur deux autres Citroën C4. Alors que seulement 6/10 de seconde séparait les deux pilotes, il a fallu attendre le dernier passage dans la super-spéciale pour voir Solberg s'adjuger la deuxième place. L'organisation a d'ailleurs fait en sorte de garder un peu de suspense en faisant passer Solberg et Ogier le plus tard possible.

Les pilotes Ford Mikko Hirvonen et Jari-Matti Latvala, ont respectivement pris les 4e et 5e places, laissant aux pilotes Citroën les honneurs. Et sans la suspension cassée par Dani Sordo, ils seraient même sans doute repartis de Leon avec un capital points moins important encore. Loeb fait quant à lui une belle opération avec ce quatrième succès mexicain, et devance à présent de six points Hirvonen, vainqueur de la première manche en Suède.

Classement final

1. Sébastien Loeb-Daniel Elena (FRA-MON/Citroën C4) 3 h 42:41.7
2. Petter Solberg-Phil Mills (NOR-GBR/Citroën C4) à 24.2
3. Sébastien Ogier-Julien Ingrassia (FRA/Citroën C4) 25.3
4. Mikko Hirvonen-Jarmo Lehtinen (FIN/Ford Focus) 1:47.5
5. Jari-Matti Latvala-Miikka Anttila (FIN/Ford Focus) 2:15.1
6. Henning Solberg-Ilka Minor (NOR-AUT/Ford Focus) 2:48.0
7. Federico Villagra-Jorge Perez-Companc (ARG/Ford Focus) 10:13.4
8. Xevi Pons-Alex Haro (ESP/Ford Fiesta S2000) 18:44.4
(1er catégorie S-WRC)
9. Martin Prokop-Jan Tomanek (CZE/Ford Fiesta S2000) 19:02.0
10. Armindo Araujo-Miguel Ramalho (POR/Mitsubishi Lancer) 21:32.5
(1er catégorie Production-WRC)
...

Meilleurs temps dans les épreuves spéciales:
Loeb 8 (ES10 à ES17), P. Solberg 7 (ES1 à ES3, ES5, ES6, ES21, ES22), Ogier
6 (ES4, ES7 à ES9, ES18, ES19), ES20 annulée

Abandon:
Kimi Räikkönen-Kaj Lindström (FIN/Citroën C4), sortie de route (ES7)
07/03/2010 Info France 3

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6 mars 2010 6 06 /03 /mars /2010 05:04

 

Combiné Nordique:
Jason Lamy-Chappuis sur le toit du monde

 

Jason Lamy-Chappuis

Jason Lamy-Chappuis

AFP - Jon-Michael Josefsen
Jason Lamy-Chappuis a remporté la Coupe du monde de combiné nordique ce vendredi à Lahti, en Finlande.

Malgré sa 10e place à Lahti, son moins bon résultat de l'hiver, 
le champion olympique en petit tremplin est mathématiquement assuré de terminer à la première place du classement mondial, avant même les deux dernières épreuves de la saison, puisqu'il compte plus de 200 points d'avance sur son dauphin, l'Autrichien Felix Gottwald, 5e.

Treizième après le saut, "Jez" a terminé à l'issue du 10 km de ski de fond à 44 secondes du Norvégien Magnus Moan, vainqueur de la première des deux épreuves individuelles de Lahti, devant le Finlandais Hannu Manninen et l'Allemand Tino Edelmann. Lamy-Chappuis est le deuxième Français après Fabrice Guy à soulever le globe de cristal de N.1 mondial: comme Guy en 1992, Lamy-Chappuis a réalisé le doublé titre olympique/Coupe du monde la même année. Vainqueur de la première épreuve de la saison à Kuusamo (Finlande), il a toujours été en tête de la Coupe du monde et s'est retrouvé sur le podium à neuf reprises, dont cinq fois sur la plus haute marche, en quinze épreuves disputées.

"JLC" en bref

Nom: Lamy-Chappuis
Prénom: Jason
Date de naissance: 9 septembre 1986
Lieu de naissance: Missoula (Montana/Etats-Unis)
Lieu de résidence: Bois d'Amont (France)
    
Nationalité: française
Taille: 1,79 m
Poids: 66 kg
    
Discipline: combiné nordique
   
. Jeux Olympiques
2010: 1er (individuel/petit tremplin), 4e (relais), 18e (individuel/grand tremplin)
2006: 4e (sprint), 6e (relais), 11e (individuel)
   
. Championnats du monde
2009: 3e (individuel/grand tremplin), 3e (mass-start), 4e (relais), 23e (individuel/petit tremplin)
2007: 6e (relais), 7e (sprint), 15e (individuel)
2005: 21e (sprint), 33e (individuel)
   
. Coupe du monde
Classement général: 1er (2010), 2e (2007), 5e (2006, 2008, 2009)
10 victoires, 29 podiums en 100 participations, vainqueur de la Coupe du monde de sprint en 2007, 2e de la Coupe du monde de sprint en 2008

05/03/2010 Gregory Jouin Info france 3

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4 mars 2010 4 04 /03 /mars /2010 01:09


Football- Match amical: France-Espagne
Un monde les sépare

Ribéry chute devant Ramos

Ribéry chute devant Ramos

AFP-Fife
Les Bleus ont été défaits par l'Espagne au Stade de France en match amical (0-2).

A 100 jours du début de la Coupe du monde, l'équipe de France n'a pas rassuré ses supporters en s'inclinant face à une formation espagnole remarquablement organisée. Largement dominés en première période, les Bleus ont réagi par la suite mais trop mollement. Domenech et Henry n'ont pas été ménagés.

La leçon espagnole

Du pain sur la planche. C'est le constat qui s'impose après ce match entre une équipe de France en plein doute et une Roja qui évolue en toute confiance. Certes, le chemin qui mène à la Coupe du monde est encore loin mais on ne peut pas dire que l'équipe de France, passée par la toute petite porte pour se qualifier, se soit remise dans le bon sens. La formation de Del Bosque, qui exceptionnellement jouait en Bleu, enchaîne quant à elle une 34e victoire en 35 matchs, et la première sur le sol français depuis 42 ans.

 

Sans surprise, le nom du sélectionneur tricolore est sifflé avant le coup d'envoi. Sans surprise également, Domenech aligne une charnière inédite, Ciani-Escudé, en défense centrale et poste Franck Ribéry à droite de l'attaque. Dans un premier temps, le schéma des Bleus tient la Roja en respect. Mais il suffit d'une simple erreur individuelle, Henry perdant le ballon au milieu de terrain, pour que le bel édifice s'effondre comme un château de cartes. Le contre espagnol est foudroyant, Inesta lance en profondeur Villa qui s'en va tromper Lloris d'un plat du pied plein de maîtrise (0-1, 21e).

 

Dès lors, l'équipe de France, bâtie une nouvelle fois pour jouer le contre, ne sait plus comment procéder pour prendre le jeu à son compte. Du pain béni pour les champions d'Europe en titre qui s'amusent à la passe à dix. Mais, à la fin de la démonstration, il y a toujours cette accélération qui fait mal. Là, la banderille est plantée Sergio Ramos qui hérite d'un ballon sur son aile droite. Le défenseur crochète Escudé qui ne peut qu'effleurer le tir du Madrilène et la frappe détournée finit au fond des filets d'un Lloris pris à contre-pied (0-2, 45e).

 

La seconde période sera heureusement moins difficile pour les Bleus. Les Français se montrent plus disponibles, plus conquérants dans les duels, plus adroits dans les passes. Mais il leur manque toujours ce geste de classe aux abords de la surface, celui qui fait vraiment la différence. Les rentrées conjuguées de Govou, à la place d'un Henry copieusement sifflé à sa sortie, de Cissé ou de Malouda ne changera rien même si le coup de tête du dernier nommé, sur un centre du joueur de Panathinaïkos, touche le poteau de Casillas à la 80e minute. La réduction du score aurait peut-être changé le cours du match, qui sait ? Il n'en a rien été et l'équipe de France a quitté l'enceinte de Saint-Denis avec quelques sifflets pour la forme et beaucoup de doutes. Raymond Domenech avait prévenu : "le risque de jouer contre des bonnes équipes est de perdre". Le risque est désormais avéré.  

 


Déclarations

Raymond Domenech (sélectionneur de l'équipe de France): "Aujourd'hui, l'Espagne a confirmé qu'elle était l'une des 
grandes favorites pour la Coupe du monde. Nous, on a vu que, quand on ne gère pas bien le ballon, on n'est pas bien, que pour battre l'Espagne, il faut être dans un bon jour. Il faut que tout le monde soit au diapason et au-dessus de son niveau, on le sait. On perd sur deux erreurs, sur deux mauvais placements, pertes de ballon au milieu du terrain, leur point fort. On a mal négocié les actions offensives. Pour battre cette équipe-là, il faut être exceptionnel. On ne l'a pas été ce soir, il faut le dire. Par rapport à ce qu'on est capable de faire, on a été moyen, même si on a été un peu mieux au fur et à mesure que le match avançait. Ca ne suffit pas pour battre le champion d'Europe, une équipe comme l'Espagne. Maintenant, on a trois mois de préparation. La Coupe du monde est là..."

 

Vicente del Bosque (sélectionneur de l'Espagne): "On a fourni une bonne première mi-temps, c'est ce qui nous a rendu le match facile, mais nous n'avons pas eu beaucoup d'occasions, et si on veut être un peu sévères avec nous, on a manqué un peu de profondeur dans la première mi-temps. En deuxième mi-temps, il y a eu un peu d'imprécisions des deux côtés, mais tout était sous contrôle du début à la fin. Je maintiens ce que j'ai dit avant sur la France (une bonne équipe qui fera un bon Mondial, ndlr), je me souviens de l'Espagne, au bout de la qualification pour l'Euro-2008, l'ambiance n'était pas bonne et on a vu ensuite (l'Espagne est devenue champion d'Europe, ndlr)."

Djibril Cissé (attaquant de l'équipe de France): "Cela m'a fait du bien de revenir. J'aurais préféré revenir avec une victoire mais l'Espagne est une très bonne équipe, la meilleure d'Europe. Elle
sait faire tourner le ballon. On est déçu mais pas inquiet. On s'est battu, on n'a pas baissé les bras. L'objectif est la Coupe du monde et on a encore deux-trois mois pour se préparer. Moi, je l'ai annoncé, j'ai très envie d'être à la Coupe du monde et je ferai tout pour y être. Mais cela passe par mon club et des bonnes prestations en Coupe d'Europe parce que le championnat grec ne suffira pas. (A propos de l'accueil chaleureux du public) D'habitude, je me fait siffler. Cela fait plaisir et je tiens à remercier le public. Par contre, siffler Thierry (Henry) c'est moyen. Il est très costaud, il ne montre pas sa déception, mais c'est sûr que cela l'a touché. C'est dommage."

Julien Lamotte Info France 3 04/03/2010

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1 mars 2010 1 01 /03 /mars /2010 11:00

Bleus rois et Bleus pâles
 

Bleus rois et Bleus pâles

La France visait les dix médailles, mais le départ canon (trois médailles dont deux en or en trois jours) a fait penser que le record de 11 médailles, datant de 2002 à Salt Lake City, pouvait être battu.

Bleu roi

Anthonioz Deborah : à 31 ans, la snowboardeuse s’est adjugé une superbe médaille d’argent en cross qui couronne sa carrière.

Biathlon : avec quatre médailles en 2006, la discipline avait été la plus prolifique pour la France. Les biathlètes ont fait mieux en 2010 avec six médailles.

Biathlon : avec les deux jeunes médaillées, les anciennes Sandrine Bailly et Sylvie Becaert ont remporté une belle médaille d’argent en relais de biathlon pour leur dernière compétition olympique lors de leur ultime année de sportive de haut niveau. La passation de pouvoir est faite.

Bozzetto Mathieu : après avoir voulu arrêter sa carrière, le snowboardeur de 36 ans a enfin décroché une médaille olympique, en bronze en slalom géant parralèle après sa 4e place en 2006, la 6e en 2002 et sa 5e en 1998.

Brunet Marie-Laure : première participation aux JO, deux médailles (en bronze en poursuite et en argent en relais) à 21 ans, elle a déjà assuré la relève et ramène autant de médailles que son compagnon Vincent Jay.

Dorin Marie : discrète mais toujours avec le sourire, elle a joué les premiers rôles en étant la première Française à décrocher une médaille (bronze en sprint) avant d’en prendre une deuxième en relais.

Fourcade Martin : le cadet des frères Fourcade a survolé la poursuite et aurait pu empocher l’or s’il n’avait pas raté trois tirs en biathlon. Il incarne l’avenir avec Vincent Jay.

Jay Vincent : le Français le plus médaillé de ces JO (or et bronze) est devenu le plus prolifique de l’histoire du biathlon tricolore. Et dire que ce n’était que ses premiers JO.

Josserand Marion : Ophélie David sortie, elle a repris le flambeau pour conquérir le bronze à 23 ans en ski-cross. La relève semble assurée.

Lamy-Chappuis Jason : il était très attendu en tant que N.1 de la Coupe du monde, et il n’a pas déçu. De l’or sur le petit tremplin.

Ramoin Tony : Profitant de l’élimination de Pierre Vaultier, le jeune snowboardeur de 21 ans a sauvé la mise en cross avec un bronze aussi beau qu’inattendu

Bleu pâle

Combiné nordique : Comme aux Championnats du monde, la France a laissé s’échapper le podium en équipe lors du passage en ski de fond. Une déception collective.

De Le Rue Xavier : en 2006, une blessure trois semaines avant les Jeux l’avait rejeté loin du podium, lui qui était un des favoris en snowboard-cross. En 2010, pas plus de médaille pour l’un des plus grands free-riders du monde.

David Ophélie : ultra-dominatrice cette saison comme les précédentes, la Française a été éliminée dès les quarts de finale en ski-cross. Une grosse déception.

Defrasne Vincent : le porte-drapeau de la délégation tricolore a raté ses Jeux. Il repart bredouille de Vancouver sans avoir pu défendre correctement son titre olympique.

Delobel-Schoenfelder : un an d’absence pour cause de blessure et de grossesse pour Isabelle Delobel, le duo de danse sur glace n’est pas parvenu à conclure en beauté ses 20 ans de collaboration, malgré une dernière belle prestation. Dommage pour les champions du monde 2008.

Joubert Brian : très décevant en 2006, il voulait prendre sa revanche. Cela a été encore pire, avec en prime un sermon public du président de la Fédération française. Le champion du monde 2007 était loin du niveau.

Lizeroux Julien : vice-champion du monde de combiné et de slalom, 2e de la Coupe du monde de slalom, le skieur de La Plagne n’a pas su adapter son ski à la neige de Whistler, étant 9e du slalom et 18e du combiné.

Marchand-Arvier Marie : vice-championne du monde de super-G, la Française a pris la 7e place en descente, la 10e en combiné et a chuté en super-G.

Vaultier Pierre : vainqueur de quatre épreuves sur cinq en Coupe du monde, il devait avoir à coups sûr une médaille. Mais il a été éliminé en quarts de finale.

Vittoz Vincent : chef de file du fond français depuis une décennie, il est de nouveau reparti sans médaille olympique, frôlant le podium sur 15km (5e) et en relais (4e). Définitivement maudit aux Jeux.
01/03/2010 par Grégory Jouin et Thierry Tazé-Bernard Info France 3 

 

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27 février 2010 6 27 /02 /février /2010 20:00

 

Innovation :
une chaussure de course qui s’adapte
aux hormones féminines

Royaume-Uni - Les créateurs d'Asics ont mis au point une basket dont la forme se modèle en fonction du niveau d'hormones de la femme.

Innovation : une chaussure de course qui s’adapte aux hormones féminines 


Le taux d'oestrogène dans le corps affecterait la flexibilité et la hauteur
de la voûte plantaire
.
Lorsque le taux d'oestrogène est élevé, et que la femme est la plus fertile, la voûte s'affaisse.
Tandis que lorsque la femme est en période de règles, le taux d'oestrogène est faible mais la voûte plantaire est relevée. 
Les scientifiques d'Asics ont donc créé l'Asics 16, une chaussure de running composée de trois couches. La plus proche du pied est en mousse, suivie d'une couche d'air puis d'une couche de plastique. Ainsi, lorsque la voûte du pied de la femme est abaissée, elle comprime la mousse, et quand elle est relevée, la mousse se gonfle et épouse les courbes du pied. 
Les ligaments, les tendons et les muscles se modifieraient également sous l'effet des oestrogènes.
Ces chaussures permettraient de garantir un maintien adapté au pied des femmes qui ont notamment un talon plus étroit que celui des hommes.
Ces chaussures sont conçues pour amortir le contact de la plante des pieds avec le sol ainsi que toutes les secousses. Elles seraient aussi plus flexibles et donc plus modelables. Les chaussures ont pendant longtemps été conçues pour les hommes alors qu'aux dernières nouvelles, les femmes étaient plus nombreuses que les hommes à pratiquer la course à pied. Seul hic : cette chaussure de course est assez onéreuse. Elle coûterait en effet trois fois plus cher qu'un modèle bon marché de la même marque.

Maxisciences News de star News Yahoo 20/02/2010

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25 février 2010 4 25 /02 /février /2010 05:53

 


Ski alpin - Vancouver 2010

Barioz devra attendre

Barioz devra attendre
AFP


Deuxième temps de la 1re manche à 0"02 d'Elisabeth Goergl, la Française Taïna Barioz n'a pu disputer un 2nd passage en raison du brouillard. Les organisateurs ont décidé de reporter la seconde manche de ce géant dames à jeudi, sans préciser l'horaire. Le résultat de la 1re manche est entériné.

Initialement prévue à 22h15 puis repoussée à quatre reprises, la seconde manche a finalement été reportée à jeudi en raison du brouillard qui régnait à Whistler. L'horaire n'a pas encore été déterminé, mais il y a de fortes chances que ce second run ait lieu à 19h, heure française. Selon le règlement de la FIS, un slalom géant doit être couru en deux manches, "si possible" le même jour. Lors des Championnats du monde de Morioka en 1993, le géant remporté par le Norvégien Kjetil Andre Aamodt avait été disputé sur deux jours.

Excellente deuxième de la première manche du géant des JO de Vancouver, Taïna Barioz conserve donc toutes ses chances dans la course à la médaille. Ce mercredi, la jeune Tricolore a signé un premier run de grande classe, avec de l'engagement et de la hauteur sur ses lignes. A mi-parcours, la Française est pointée à deux petits centièmes d'Elisabeth Goergl, qui a été la plus rapide sur le tracé dessiné par le coach allemand.

Douze filles en 89 centièmes

Au sommet de la hiérarchie provisoire, Barioz est entourée de trois Autrichiennes. Outre Goergl, Kathrin Zettel et Eva Maria Brem ont respectivement signé les 3e (à 0"16) et 4e chronos (0"26). Comme lors de la course messieurs de mardi, cette première manche n'a pas fait de réels écarts. Les douze premières se tiennent en moins d'une seconde. Une autre skieuse française figure dans le top 10. Tessa Worley, victorieuse cet hiver à Are, a signé le 9e temps à 0"68 de l'Autrichienne Goergl.

Partie avec le dossard n°1, la championne du monde en titre, Kathrin Hoelzl n'a pris que la 10e place. L'Allemande est pointée à 0"69 de la tête. Impeccable sur le haut de la piste, Olivia Bertrand n'a pas été aussi précise sur le bas et a pris la 17e place à 1"20. La Française s'est classée juste devant Julia Mancuso, la grande malheureuse de cette première manche. Partie avec le dossard 18, la Californienne a été arrêtée par l'organisation après 40 secondes de course, en raison de la chute de sa compatriote et "grande amie", Lindsey Vonn, qui n'y est évidemment pour rien. Cette dernière, partie sur des bases exceptionnelles (-0"35 au 3e inter), a été piégée sur une faute d'intérieur et a fini sa manche dans les filets. Anémone Marmottan a terminé au 19e rang à 1"43.
Eurosport 24/02/2010

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23 février 2010 2 23 /02 /février /2010 23:48

Ski acrobatique -
Vancouver 2010

La 10e pour Josserand !

 
Imago

 


On attendait Ophélie David, mais la star du skicross français a été sortie dès les quarts de finale mardi. Heureusement, Marion Josserand était là. Solide toute la journée, elle a décroché le bronze lors de la finale remportée par Ashley McIvor, offrant à la France
sa 10e médaille à Vancouver.

Eurosport - Laurent Vergne 23/02/2010

Bravo Marion !!!!!

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23 février 2010 2 23 /02 /février /2010 21:54


Les relayeuses argentées

Les relayeuses argentées 

L’équipe de France féminine de relais a décroché la médaille d’argent dans le relais 4 x 6 km du biathlon. Il s’agit de la neuvième médaille de la délégation tricolore lors de ces Jeux, la 6e pour le biathlon en neuf courses. Championnes du monde et tenantes du titre, les Russes ont remporté la médaille d’or. Les Allemandes prennent le bronze.

2302/2010 Info France 3 par Romain Bonte

Bravo les filles:
Marie- Laure Brunet, Sylvie Becaert, Marie Dorin et Sandrine Bailly,
et Julie Carraz la remplaçante.

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21 février 2010 7 21 /02 /février /2010 20:55

 

Fourcade, le grand huit

Fourcade, le grand huit

Biathlon - Vancouver 2010

En feu sur les skis, Martin Fourcade a apporté à la France sa 8e médaille (la 5e pour le biathlon) aux Jeux de Vancouver dimanche soir. Le Français a pris la médaille d'argent lors de la Mass start, derrière le Russe Ustyugov. Dommage que le cadet des Fourcade ait commis trois fautes au tir.  
Eurosport 21/02/2010

Meilleur temps au ski, Martin Fourcade ( 3 fautes au tir sur 20) a littéralement mangé successivement Vincent Jay, Christoph Suman et Hurajt Pavol après le dernier tir debout où il était  5è, il a échoué à 10,4 secondes de Ustyugov Evgeny champion olympique de masstart, qui a fait un 20/20 au tir.
Vincent Jay  est 8è et Simon Fourcade 14è, de bonne augure pour le Relai Hommes.

Bravo à Martin, 21 ans et vice-champion olympique.

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L'humour Est La Meilleure Thérapeutique

  • : Doc de Haguenau
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STOP TABAC & ANTI-SMOKING THERAPY

Et si vous arrêtiez de fumer? Ne repoussez pas tout le temps la décision à demain, une fois les complications arrivées, vous vous direz si seulement j'avais arrêté...

http://www.dorffer-patrick.com/article-sevrage-tabagique-j-arrete-de-fumer-mais-c-est-dur-tres-dur-65570244.html

 

The session consists first in a group therapy, and then in individual mesotherapy injections under the skin, with a small needle at both ears.
The mixture injected is purely homeopathic, it causes the disgust of the cigarette, he fought against the urge to smoke, irritability, and against the craving.
One session is required in almost all cases. 

Nicotine withdrawal by homeopathic mesotherapy 

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